Quatre mois fermes pour Bové
Juan Marcos Von Braun, mercredi 16 novembre 2005 - 15:11
Bénie soit la Cour d’Appel de Toulouse ! Louée soit cette poignée de magistrats qui par leur décision courageuse, ont enfin rendu justice aux milliers de légumes et céréales qui ont payé de leur existence le simple fait d’être nés différents ! Gloire à la justice républicaine, enfin passée pour mettre fin à l’impunité dont ont bénéficié ces bourreaux obscurantistes protégés des décennies durant par l’usurpateur socialiste !
Le bâtiment de la Cour d’Appel de Toulouse a fait l’objet, ce 15 novembre 2005, d’importantes mesures de sécurité, en prévision du jugement de la troïka extrémiste Bové-Mamère-Onesta, statuant sur les années de terreur aveugle dont l’ensemble du sud-ouest agricole français a fait les frais dans l’indifférence complète de la communauté internationale.
Une audience à haut risque, tenue dans une ville sans cesse au bord de l’émeute, infiltrée par des éléments à la solde de l’étranger, tel le groupe Zebda et les Motivés, et subissant l’influence néfaste d’un arrière-pays encore acquis aux idées rétrogrades venues de Cintegabelle, qui a justifié l’instauration d’un véritable état de siège. Tireurs sur les toits pour prévenir toute tentative d’évasion. Transformateurs électriques installés à la hâte en banlieue, tels des lampes anti-moustiques, pour détourner du centre-ville des bandes de « jeunes » venus de la cité du Mirail. Portraits martiaux de Philippe Douste-Blazy pour rappeler aux fauteurs de troubles potentiels que désormais, l’ordre règne à Toulouse et que l’application de la loi sera implacable.
Dans une pathétique tentative de justification de ses actes, José Bové a invoqué l’influence néfaste des jeux vidéos.
Principal prévenu de cette audience, le sinistre José Bové aura finalement fait pâle figure face aux médias du monde entier venus témoigner de ce jugement historique, de cette étape décisive vers une pacification durable de notre Bravepatrie encore secouée sporadiquement par les contrecoups de deux semaines d’émeutes incendiaires. Loin de l’image de l’homme sûr de lui et déterminé que véhiculaient encore, il n’y a pas si longtemps, certains médias corrompus par le mitterrandisme rampant, Bové s’est montré piteux, honteux, et même au bord des larmes alors que défilaient un à un à la barre de la juridiction les représentants des parties civiles.
Enfants orphelins des pieds de colza saccagés au nom d’un douteux « principe de précaution », parent de jeunes pousses de maïs fauchées dans la fleur de l’âge par des meutes de gauchistes haineux, tous ont rappelé à quel point cette idée malsaine d’une « pureté des espèces biologiques » a servi de fondement à un véritable génocide, avant d’observer une minute de silence à la mémoire de Léguman, le plus célèbre des martyres de cette idéologie d’un autre âge.
Mais au-delà des souffrances individuelles causées par les exactions de la clique Bové, la Cour d’Appel a pu souligner l’immense gâchis de ces année de plomb pour la recherche scientifique et le progrès de notre Bravepatrie. Des années de recherche visant à l’amélioration de la productivité des récoltes, à la réduction de la consommation de pesticides, au développement de nouveaux médicaments, ont ainsi été réduites à néant. Disparus, les poireaux qui auraient pu permettre de combattre efficacement la terrible canicule de 2003, les patates qui devaient créer 2,5 millions d’emplois en six mois, les haricots sur lesquels comptait notre gouvernement pour lutter contre les discriminations et les violences dans nos banlieues, et les carottes qui auraient du permettre à Paris d’accueillir simultanément les Jeux Olympiques et les Gay Games.
Luc Guyau, ancien président de la FNSEA jusqu’en 2003, intervenant en qualité d’expert à l’audience, a par ailleurs souligné la véritable catastrophe qu’a représenté, pour les pays en voie de développement, la terreur qui frappa pendant ces années toute la recherche génétique : « C’est insensé ! Comment voulez-vous, sans maïs OGM, que nous puissions apporter à notre bétail et aux 4 milliards d’humains du tiers-monde les protéines dont ils ont besoin ?! Le retard pris est irrattrapable. »
Quatre mois de prison ferme ont ainsi pu paraître une condamnation bien modeste pour un individu dont les crimes pèseront encore longtemps sur la vie des peuples du monde entier. Quant au sort réservé à son complice Noël Mamère, véritable « Mollah Omar » du mouvement, uniquement condamné avec sursis, affirmons haut et fort qu’il est carrément injuste, quoiqu’en pensent les représentants de l’association trotskiste Greenpeace, qui feraient bien de se rappeler que nous, peuple bravepatriote, SAVONS où est amarré leur bateau.
A bon entendeur.
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