Raoul
Alfred-Georges, dimanche 26 juillet 2009 - 17:50
Il fallait y penser, Barack Obama l’a fait : de la bière contre le racisme. C’est bien connu, non seulement l’alcool adoucit les mœurs mais de plus chacun sait pertinemment qu’il résout absolument tous les problèmes. Le président américain l’a bien compris et organise une beuv’ à la maison blanche entre un flic blanc et un universitaire noir. Le premier qui dégueule a perdu ou le premier qui tire a gagné. Une manière résolument moderne de solutionner la question raciale aux states, dont on pourrait plus largement s’inspirer en matière de politique Nationale.
Le gouvernement étasunien devrait inciter à multiplier l’expérience un peu partout, mais sous des formes différentes. En Alabama, par exemple, les sympathiques boy-scouts du KKK qui ont décidé de se débarrasser du racisme sont déjà de fervents consommateurs de binouze et ne rechignent jamais à en partager une bien fraîche avec un noir pendu par les couilles, mais il semblerait que ça ne fonctionne pas tout à fait.
Peut-être cela provient-il de la marque utilisée, et d’après les scientifiques la consommation de Budweiser provoquerait l’irrépressible envie d’utiliser un pompe contre le black de la station service. Des produits d’importation comme la Heineken sembleraient mieux convenir. D’aucuns suggèrent également que la bière n’est pas efficace pour traiter le crétin congénital et qu’il faut adopter des solution plus radicales, comme par exemple un bon shit de table, une forte dose de crack, ou plus simplement une injection létale.
Quoi qu’il en soit, on reste admiratif devant les préconisations Obamesques, à tel point qu’on a bien envie de conseiller à Nicolas Sarkozy de faire de même pour résoudre la question raciale dans notre Bravepatrie. La méthode, cependant, doit différer quelque peu, étant donné les réticences culturelles des forces d’invasion à nos coutumes locales.
En effet, proposer une bière à un arabe comme ça risque de se solder par un lamentable échec. Il est vrai qu’ils ne font aucun effort pour transiger avec l’autochtone, et sont un peu gonflés de venir se plaindre. Après tout, la bière c’est un peu comme de l’eau. Boire une bière, c’est pas comme boire de la vodka : Maurice Panel peut en ingurgiter une valise de 50 avant de chanter la Marseillaise sans bafouiller. Et la solution de facilité contre le racisme consisterait à les renvoyer dans leur pays d’origine. Mais le Français de souche peut se montrer un peu sport et tenter une intégration réussie la tête dans les chiottes.
Voici à titre indicatif une posologie Bravepatriote à l’usage de tous.
On préférera ruser pour faire absorber le salutaire breuvage au visiteur venu du désert. On pourra par exemple mélanger une mesure de bière dans une mesure de thé à la menthe en accompagnement d’un couscous au pied de porc, ce qui devrait en principe passer totalement inaperçu. De suite, le débat sur la question raciale s’en trouvera facilité et il sera nettement plus aisé de faire admettre à l’interlocuteur exotique les conclusions de M. de la Bath, à savoir qu’il n’y a qu’une putain de religion pour interdire à ses fidèles de se torcher la gueule. Quelques parties de caps plus tard, il ne vous restera plus qu’à fraterniser autour de la cuvette en beuglant des chansons paillardes.
Mais il peut malheureusement arriver que le gentil allogène émette quelques doutes quant à votre probité s’il se rend compte que sa boisson fétiche le fait roter plus qu’à l’habitude. Ne vous laissez pas faire. Après tout vous êtes chez vous et lui est déjà ailleurs sur un simple coup de fil. Exprimez votre mécontentement dans un langage compris de tous les peuples du monde : écrasez-lui votre canette dans l’œil. Si vous le menacez d’en écraser une deuxième, il adhèrera aussitôt au modèle républicain et vous pourrez vous targuer d’avoir résolu une question raciale. Passez à la suivante.
Comme quoi, les usages de la bière sont multiples et permettent d’atteindre des résultats particulièrement probants. Il ne reste plus qu’à s’envoyer derrière la cravate une bonne 8,6 et à défoncer la gueule de Roselyne Bachelot, qui nous gonfle avec ses campagnes de prévention : elle n’a manifestement rien compris au enjeux de l’intégration à la Française.
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