Maurice Panel, mercredi 20 décembre 2006 - 10:28
A l’approche d’élections décisives, le livre noir du syndicalisme continue de s’écrire. Tous les jours, sous nos yeux, ses actions malveillantes plongent la France dans l’obscurantisme et la collectivisation.
La société française est sclérosée par les tabous. Les valeurs sont là présentes en chacun de nous, mais elles doivent se révéler : c’est la force de Brave Patrie de savoir les passer en revue et leur donner une bonne bourrade virile ou pour le moins une claque salutaire afin qu’elles retrouvent la place qui leur est dûe.
Et s’il est une valeur qu’il faut remettre en selle, tel un gaucho blessé par une jument rebelle, c’est encore et toujours celle du travail.
Pourtant un obstacle apparemment inamovible se présente pour que la France regagne son rang. Cet Everest d’immobilisme à un nom : le syndicalisme.
Dans notre société actuelle, comment ignorer le pouvoir des syndicats, leur influence au cœur du facteur travail, leurs interventions partout nuisibles : de la machine à café au menu de la cantine (sincèrement 500g de patates avec un litre de rouge et vous êtes paré pour douze heures de manutention aux docks, pas de quoi râler), vos avis, vos envies, vos révoltes : tout est piloté par des organisations sans réelle légitimité mais animées par la volonté farouche de voir disparaître jusqu’au dernier salarié.
Les syndicats ont exigés les comités d’entreprise, nids d’oisiveté et de vices : ils les ont eus !
Ils ont réclamé la médecine du travail alors que le travail c’est la santé ! Ils l’ont eue !
Autre « fait d’arme » significatif d’une lutte permanente contre l’entreprenance : le blocage des transports pendant la visite du CIO. Résultat obtenu : l’échec de la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques de 2012.
L’immobilier qui chute, des stades vides, des sportifs démobilisés, la drogue est partout dans nos rues. Le bilan est lourd et plongerait le moindre gestionnaire de fonds de pension dans une longue et profonde dépression.
Le syndicalisme, c’est, au fond, le ver dans le fruit.
Que défendent-ils, ces syndicats, ces regroupements de « travailleurs » (on devrait plutôt dire non-entrepreneurs) ?
La sclérose, l’apathie, le communautarisme, le repli sur soi, le refus d’un monde qui veut changer.
Car après tout, « et l’ensemble des français sera d’accord avec moi » (®™© Nicolas Sarkozy), ce que veulent les gens, c’est du travail. Or ceux qui fournissent le travail, n’en déplaisent à certains soutiens des Communes Populaires du Grand Bond en Avant, ce sont les patrons.
La situation est claire, nous avons d’un côté des créateurs de valeurs, des visionnaires pour un monde plus beau où même le Chinois de base pourrait s’offrir une Logan break et de l’autre des barbares avinés, brutaux, qui n’hésitent pas sur un coup de sang à détruire les outils de production, héritages familiaux parfois centenaires.
"Une petite manifestation sans incident" selon les syndicats. 15000 voitures brûlées selon la police.
J’entends déjà hurler les ayatollahs de la bien pensance, ces cadors droit de l’hommistes : « impossible de vivre sans syndicat ».
Je m’inscris en faux, ça s’est déjà vu : « Z-dinkat :Sapotache !!! » comme aimait à me le hurler dans les oreilles mon maître de stage chez Messerschmitt (du temps où la production ne soufrait pas UN jour de retard).
Et en ce temps là l’économie était florissante.
De nos jours la réponse est évidente, fournie par les états les plus entreprenants : Bahreïn, Les Emirats Arabes Unis, la Chine, les maquilladoras au Mexique, les Etats-Unis (avec Walmart notamment).
S’en portent-ils plus mal ? Au contraire, flexibilité, réactivité, inventivité !<br /
Résultats : profits, opulence, mieux vivre tout simplement.
Ces pays lointains ne tarderont pas à enlever nos élites, à rapter notre matière grise (le cas d’Amaury De Loose me préoccupe particulièrement). Plus largement, même nos sportifs les plus performants ou nos artistes les plus inventifs sont devenus des cibles facilement tentées.
Faisons face. Coût du travail exorbitant, fuite des capitaux et des cerveaux, perte de compétitivité, inadaptation du système éducatif : ces thèmes seront centraux pour la décennie à venir.
Doit-on laisser une poignée d’allergique à l’effort décider pour nous ?
Le Dalai-Lama (leader syndical depuis 1956) lui-même, ne disait-il pas récemment, à l’arrivée du train en gare de Lhassa : « Il n’est pas impossible d’arrêter une bonne lutte » ?
Alors, évidemment le réveil risque d’être difficile pour un pays assommé depuis si longtemps par les fumées roses et vertes des dealers de démagogie.
Après la confusion les esprits se réveillent et la réalité sait cheminer jusqu’aux oreilles du plus grand nombre pour ensuite inonder leurs esprits.
Il n’y a pas de fatalité, une solution existe, apportée par la science.
De la même manière que des cellules de décontamination sont mises en place lors d’accidents chimiques ou nucléaires, il serait possible d’éradiquer les racines du mal en mettant sous camisole chimique les syndicalistes connus.
Dès les premiers signes de contestation, ou mieux, dès la publication des propositions de lois, des syndicalistes, ciblés au préalable, seraient traités chimiquement pour annihiler toutes manifestations de contestation.
Bien entendu, ce n’est pas une solution miracle et les premiers essais en laboratoires (réalisés sur des chatons) montrent que le traitement a des effets secondaires désagréables (démangeaisons, pustules, cancers, cannibalisme, adoration de Peter Gabriel...) et que la récidive est possible.
Mais le progrès est là, concrètement réalisable.
Obstacle majeur, le législateur n’est pas encore prêt et le sujet intéresse, dérange mais ne motive pas, du moins pour le moment (la présence d’un groupe communiste à l’Assemblée Nationale n’est certainement pas étrangère à ce blocage).
Tant que cette situation perdurera, les grèves et leurs cohortes de dévastation, illustration du pouvoir malfaisant des syndicalistes, pourront encore longtemps se manifester, plomber notre économie et salir l’image de la France.
Réagissons, l’occasion nous en est donnée, en avril 2007.
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