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Génocide arménien : lorsque François a des couilles

Edmond de la Brique, jeudi 12 juillet 2012 - 09:09

Depuis le 8 juillet dernier, nous savons que Élysée projette de pénaliser la négation du génocide arméniens
et de contredire ainsi l’ex Premier Ministre Laurent Fabius. Se réjouir sincèrement d’une décision de l’Exécutif socialo-blocheviquo-putchiste est donc objectivement possible.

Monsieur le Président de la République Nicolas Sarkozy fut le premier à porter haut le projet courageux visant à punir pénalement tout individu niant l’existence du génocide arménien de 1915 par le sauvage peuple turc. Il agissait alors en pur pragmatique. Un demi million de voix franco-arméniennes auraient pu sauver la France en aidant Sa réélection. La fin justifiait largement les moyens. En vain.
L’ex Premier Secrétaire du PS François Hollande sert quant à lui une idéologie supportée par la Gauchie française [1] depuis longtemps. Une idéologie que nous n’avons pas peur de qualifier de saine et de juste.

Pourquoi faudrait-il en effet confier l’établissement de la Vérité historique à d’obscurs universitaires absolument inutiles à la croissance et à la productivité nationale ? Pourquoi devrions-nous placer ce patrimoine immatériel essentiel aux vraies Nations sous la coupe d’individus aussi versatiles que les historiens ? Versatilité d’ailleurs bien plus largement suscitée pour justifier leurs émoluments publics disproportionnés que par une quelconque forme d’honnêteté intellectuelle.

Les loi mémorielles en général constituent un ciment indispensable à la cohésion de la société française, à la survie de la Patrie. Elles permettent de figer l’Histoire grâce au concours de la Violence légitime, nous voulons dire la Justice. Décourager les tentatives de révision chères aux capricieux historiens nous protège du travers d’une Histoire mouvante, évoluant au grès de la recherche. Et une Histoire non figée signifie une identité relative. La pire chose que nous puissions jamais imaginer pour la France.

Alors non, Monsieur René Rémond et consorts, l’Identité Nationale et la Patrie ne seront plus jamais vos otages. Tous, citoyens politiques de droite comme de gauche, nous y veillons.

Et en plus ça fait chier les Turcs.