Economie

Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

Maurice Panel, mercredi 20 décembre 2006 - 10:28 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

A l’approche d’élections décisives, le livre noir du syndicalisme continue de s’écrire. Tous les jours, sous nos yeux, ses actions malveillantes plongent la France dans l’obscurantisme et la collectivisation.

La société française est sclérosée par les tabous. Les valeurs sont là présentes en chacun de nous, mais elles doivent se révéler : c’est la force de Brave Patrie de savoir les passer en revue et leur donner une bonne bourrade virile ou pour le moins une claque salutaire afin qu’elles retrouvent la place qui leur est dûe.

Et s’il est une valeur qu’il faut remettre en selle, tel un gaucho blessé par une jument rebelle, c’est encore et toujours celle du travail.
Pourtant un obstacle apparemment inamovible se présente pour que la France regagne son rang. Cet Everest d’immobilisme à un nom : le syndicalisme.

Dans notre société actuelle, comment ignorer le pouvoir des syndicats, leur influence au cœur du facteur travail, leurs interventions partout nuisibles : de la machine à café au menu de la cantine (sincèrement 500g de patates avec un litre de rouge et vous êtes paré pour douze heures de manutention aux docks, pas de quoi râler), vos avis, vos envies, vos révoltes : tout est piloté par des organisations sans réelle légitimité mais animées par la volonté farouche de voir disparaître jusqu’au dernier salarié.

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Ne vous y fiez pas : ces syndicalistes feraient passer le clan Corleone pour la famille Ingalls.

Les syndicats ont exigés les comités d’entreprise, nids d’oisiveté et de vices : ils les ont eus !
Ils ont réclamé la médecine du travail alors que le travail c’est la santé ! Ils l’ont eue !
Autre « fait d’arme » significatif d’une lutte permanente contre l’entreprenance : le blocage des transports pendant la visite du CIO. Résultat obtenu : l’échec de la candidature de Paris pour les Jeux Olympiques de 2012.
L’immobilier qui chute, des stades vides, des sportifs démobilisés, la drogue est partout dans nos rues. Le bilan est lourd et plongerait le moindre gestionnaire de fonds de pension dans une longue et profonde dépression.
Le syndicalisme, c’est, au fond, le ver dans le fruit.

Que défendent-ils, ces syndicats, ces regroupements de « travailleurs » (on devrait plutôt dire non-entrepreneurs) ?
La sclérose, l’apathie, le communautarisme, le repli sur soi, le refus d’un monde qui veut changer.
Car après tout, « et l’ensemble des français sera d’accord avec moi » (®™© Nicolas Sarkozy), ce que veulent les gens, c’est du travail. Or ceux qui fournissent le travail, n’en déplaisent à certains soutiens des Communes Populaires du Grand Bond en Avant, ce sont les patrons.

La situation est claire, nous avons d’un côté des créateurs de valeurs, des visionnaires pour un monde plus beau où même le Chinois de base pourrait s’offrir une Logan break et de l’autre des barbares avinés, brutaux, qui n’hésitent pas sur un coup de sang à détruire les outils de production, héritages familiaux parfois centenaires.

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"Une petite manifestation sans incident" selon les syndicats. 15000 voitures brûlées selon la police.

J’entends déjà hurler les ayatollahs de la bien pensance, ces cadors droit de l’hommistes : « impossible de vivre sans syndicat ».

Je m’inscris en faux, ça s’est déjà vu : « Z-dinkat :Sapotache !!! » comme aimait à me le hurler dans les oreilles mon maître de stage chez Messerschmitt (du temps où la production ne soufrait pas UN jour de retard).
Et en ce temps là l’économie était florissante.

De nos jours la réponse est évidente, fournie par les états les plus entreprenants : Bahreïn, Les Emirats Arabes Unis, la Chine, les maquilladoras au Mexique, les Etats-Unis (avec Walmart notamment).
S’en portent-ils plus mal ? Au contraire, flexibilité, réactivité, inventivité !<br /
Résultats : profits, opulence, mieux vivre tout simplement.
Ces pays lointains ne tarderont pas à enlever nos élites, à rapter notre matière grise (le cas d’Amaury De Loose me préoccupe particulièrement). Plus largement, même nos sportifs les plus performants ou nos artistes les plus inventifs sont devenus des cibles facilement tentées.

Faisons face. Coût du travail exorbitant, fuite des capitaux et des cerveaux, perte de compétitivité, inadaptation du système éducatif : ces thèmes seront centraux pour la décennie à venir.
Doit-on laisser une poignée d’allergique à l’effort décider pour nous ?
Le Dalai-Lama (leader syndical depuis 1956) lui-même, ne disait-il pas récemment, à l’arrivée du train en gare de Lhassa : « Il n’est pas impossible d’arrêter une bonne lutte » ?

Alors, évidemment le réveil risque d’être difficile pour un pays assommé depuis si longtemps par les fumées roses et vertes des dealers de démagogie.
Après la confusion les esprits se réveillent et la réalité sait cheminer jusqu’aux oreilles du plus grand nombre pour ensuite inonder leurs esprits.

Il n’y a pas de fatalité, une solution existe, apportée par la science.
De la même manière que des cellules de décontamination sont mises en place lors d’accidents chimiques ou nucléaires, il serait possible d’éradiquer les racines du mal en mettant sous camisole chimique les syndicalistes connus.
Dès les premiers signes de contestation, ou mieux, dès la publication des propositions de lois, des syndicalistes, ciblés au préalable, seraient traités chimiquement pour annihiler toutes manifestations de contestation.
Bien entendu, ce n’est pas une solution miracle et les premiers essais en laboratoires (réalisés sur des chatons) montrent que le traitement a des effets secondaires désagréables (démangeaisons, pustules, cancers, cannibalisme, adoration de Peter Gabriel...) et que la récidive est possible.
Mais le progrès est là, concrètement réalisable.

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Le service d’ordre des syndicats est généralement très bien équipé.

Obstacle majeur, le législateur n’est pas encore prêt et le sujet intéresse, dérange mais ne motive pas, du moins pour le moment (la présence d’un groupe communiste à l’Assemblée Nationale n’est certainement pas étrangère à ce blocage).

Tant que cette situation perdurera, les grèves et leurs cohortes de dévastation, illustration du pouvoir malfaisant des syndicalistes, pourront encore longtemps se manifester, plomber notre économie et salir l’image de la France.
Réagissons, l’occasion nous en est donnée, en avril 2007.

Diffusez les vraies valeurs ! Partagez cet article !

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Réactions à Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

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Déjà 51 réactions.

  • 13 janvier 2007 22:24, par Brave patriote

    Des camisoles chimiques ?

    Il y en a assez de vos discours molassons et de vos compromis. Des camisoles ? et qui c’est qui va encore payer ? Les braves patriotes déjà saignés aux quatres veines par des impôts iniques et disproportionnés. Cela suffit ! 98,6 % des français qui travaillent sont imposés au delà de 101,4 % de leurs revenus... Et ce ne sont pas les chiffres fournis par l’INSEE (un repaire de trotskistes) qui doivent nous enduire d’erreur.
    Et tout cela pourquoi , Pour nourrir les fainéants, les parasites, les fonctionnaires, les infirmes, les malades, les vieux improductifs et les jeunes qui ne le seront jamais...
    Allons plutôt vers une solution économique : Que des patriotes, dans chaque usine de France, de Lille à Tamanrasset, se saisissent de syndicalistes qui entravent la bonne marche de nos usines pour les clouer sur la porte des ateliers. Avec des clous français. Nos anciens le faisaient sur les portes des granges avec des chouettes ou des hibous, bien moins nuisible que la chienlit rouge à la solde de Moscou...

    Répondre

    • 18 janvier 2007 16:27, par un patriote anonyme

      Des camisoles chimiques ?

      Question : Avez vous deja mis les pieds à l’ANPE ces derniers temps !!! Il u a plus de travail, sinon oui tu as un poste qui n’a rien à voir avec tes qualifications (merde, je n’ai pas croisé cet université qui m’apprends ts les metiers, depuis architecte jusqu’aux juges ...)et sous payer. En general, on sait ce qu’on perd mais jamais ce qu’on gagne !!!!chomeur qui perd les pedales et ne crois à plus rien !!!

      Répondre

      • 18 janvier 2007 18:15, par Correcteur

        Des camisoles chimiques ?

        Monsieur,

        Si vous me permettez une remarque :

        Si vos lettres de motivation contiennent autant de fautes d’orthographe et de grammaire que ce message, les recruteurs risquent d’être un peu réticents à vous embaucher (pour peu que vous soyez en plus syndicaliste, jeune ou avec un piercing dans le nez).

        Je vous suggère un premier exercice consistant à reécrire le message ci-dessus, en corrigeant les fautes.

        Université est du genre féminin (UNE université) : on écrit donc "Cette université".

        Mettez aussi quelques accents : "en général"

        Et faites un effort de grammaire que diantre ! : "Sous-payé" (adjectif) au lieu de "sous payer" (verbe à l’infinitif).

        Allez-y, faite le premier exercice.
        Je suis prêt à vous aider, sincèrement.

        Répondre

      • 29 janvier 2007 19:07, par lacombe lucien

        Des camisoles chimiques ?

        il y a une chose qui ne s’aprend pas à l’école. c’est la vaillance. quand on veut, on peut. le travail, c’est pas ça qui manque. comment expliques-tu que moi, petit exploitant, je n’arrive pas à trouver de la main d’oeuvre ? bien sur, tu seras pas payé 30 euros de l’heure bien assis dans un local chauffé.
        garde tes jérémiades pour marie georges buffet ou l’arlette. ll. landes.

        Répondre

        • 31 janvier 2007 00:01, par Le Vieux Duc de Millau

          Des camisoles chimiques ?

          Mais que diantre !

          Si vous n’arrivez pas à trouver de la main d’oeuvre à 25 euros de l’heure, montez vos tarifs à 30 euros.

          Et passez ensuite à 35 si ça ne marche pas.

          Cela s’appelle la loi "de l’offre et de la demande".
          Vous devriez connaître cela, Lucien.

          Ca marche comme pour le prix du kilo de viande, et ça marche aussi pour le kilo d’employé.

          Bien à vous,

          Répondre

        • 17 mars 2007 08:37, par Adolphe H

          Des camisoles chimiques ?

          Petit exploitant ? ou exploiteur ??

          Répondre

      • 4 février 2007 22:10, par miluz

        Des camisoles chimiques ?

        Ces derniers temps, non. Mais la dernière fois que j’y ai mis les pieds pour présenter mon projet d’entreprise, le responsable était bourré. La Chambre de Commerce n’a rien compris à ce que je disais. Pour éviter le rmi, une agence d’intérim m’a demandé de retoucher 75000 photos pour un site porno. Quand j’ai enfin intégré une pépinière high-tech, le "gourou" est revenu de Lanzarote plein de cocaïne. Après qu’il nous ait menacé de nous casser la gueule, j’ai intégré une autre pépinière où je me suis fait voler 15ans de boulot.. la suite est pas mal non plus. Aujourd’hui ? Ben, je suis fichée. Propreté intellectuelle mon c..

        Répondre

    • 12 juin 2007 18:43, par un patriote anonyme

      Des camisoles chimiques ?

      c’est vraiement minable,je ne vais pas perdre plus de temps, qui se cache derrière ce site ?

      Répondre

  • 6 janvier 2007 10:32, par lacombe lucien

    Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

    ça fait trop longtemps que la france subit le travail de sape de ces pyromanes. combien d’entreprises ont mis la clef sous la porte, victimes des greves à répétitions ? on ne le saura jamais.
    mais il faut différencier l’imbecile de base qui suit les mots d’ordres de greve sans utiliser son cerveau du permanent qui lui, malin, a su se planquer dans l’administration et pose un jour de maladie le jour de la greve. ce qui est le plus insuportable, c’est de voir comment ces ex adorateurs de l’union soviétique ont entrainé dans la violence la jeunesse pour lutter contre un nouveau contrat qui allait pourtant leur permettre de trouver plus facilement un emploi. mais les dirigeants syndicaux s’en foutent, leurs enfants, il les placeront à la poste ou à l’edf ou on leur apprendra à travailler le moins possible et detourner l’argent du comité d’entreprise pour organiser des voyages à cuba ou acheter des collections entieres de livres aux sociétés d’editions communistes. en fait, l’emploi de ces parasites, payés par nos impots pour organiser les greves, est plus que du chomage dissimulé. le chomeur, du moment qu’on lui assure une pension pour son pastis et son pmu, ne fait pas parler de lui. le permanent syndical, lui, en plus d’etre improductif pour 15 euros de l’heure, mine l’économie. mais le temps va se charger d’envoyer dans les poubelles de l’histoire ces scories post soviétiques.actuellement, les manifestations sont le fait de quinqua ou sexagénaires que l’abus d’alccol avait deja veillit prématuremment. si une petite partie de la jeunesse a pu se laisser abuser par leur propagande, la majorité sait bien ou est son interet. les syndicats ne servent plus à rien. il faut laisser les entrepreneurs créer des emplois librement. esperons qu’une refondation du droit salarié liquide enfin ces organisations sangsues qui nous ont plongé dans le marasme. ll. landes

    Répondre

    • 25 janvier 2007 18:05, par un patriote anonyme

      Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

      Lucien,

      J’aime beaucoup l’expression "Travail de sape de pyromanes" :

      Un pyromane met le feu.

      Les sapeurs effectue un travail de sape.
      Le terme "Sapeurs-pompiers" est directement issue du mot sape.

      Vous parliez donc de "Sapeurs-pompiers pyromanes" ? Joli...

      Répondre

  • Pas mort encore le Panel ?

    Répondre

  • 2 janvier 2007 17:29, par P. Ricard

    Des camisoles naturelles, produites en France

    Merci pour cet article fort instructif, monsieur Panel, même si vous avez omis, semble-t-il, de mentionner une camisole chimique 100% naturelle qui gagne à être connue : le pastis.
    Il est en effet de notoriété publique que le syndicaliste moyen cache toujours dans le dossier "accords cadres 1997" une petite bouteille de ce précieux breuvage qui, à forte dose, vaut toutes les drogues de synthèse pour ce qui est d’anihiler toute volonté (revendicatrice ou autre).
    Actuellement écrasée par des taxes scélérates et brimée par l’impossibilité de diffuser des réclames, l’industrie du pastis dépérit lentement, en attendant une contrefaçon chinoise qui achèvera de reléguer aux oubliettes ce patrimoine national.
    Il est temps de réagir. Non, le syndicaliste n’est pas inutile ! faisons d’une paire de couilles pierre deux coups, sauvons le pastis en sauvant la France.
    A bon entendeur,
    un petit entrepreneur français qui devient fou

    Répondre

  • vous serez vite castrés chimiquement pour éviter que vous enfantiez des délinquants .
    Mais comme Notre divin ministre de l’extérieur est miséricordieu, vous aurez peut être droit au viagra si vous rentrez dans les rangs .

    Voir en ligne : http://www.i-xtasy.com

    Répondre

  • Vous êtes vraiment irresponsables !

    Voir en ligne : http://www.i-xtasy.com

    Répondre

  • 28 décembre 2006 16:25, par Jacques Bournichet, Notaire en Terres de Vendée

    Sus à la censure !

    Très chers amis FRANCAIS, Monsieur Panel, Bonjour,

    Cet article m’a beaucoup éclairé sur la situtation actuelle d’une France en proie au déclin, à l’immobilisme et à l’apahtie générale de nos élites muselées par ce syndicalisme rouge sang si bien décrit ici.

    MAIS, la preuve que la situation est bien plus grave encore que ce que Monsieur Panel écrit, c’est que ce texte ne va PAS au fond du problème. Nous sentons bien là la présence de l’oeil de moscou qui censure le travail de notre humble compatriote.

    OUI Monsieur Panel le syndicalisme est un cancrelats lugubre ;Oui il FAUT l’éradiquer ; mais alors ayont le COURAGE de nos idées !
    Je me doute que, si vous le pouviez, vous iriez plus loin que ces histoires de gadgets chimiques que l’on peut, à la rigueur, trouver, prêtez moi l’expression, rigolos...

    Mais cela ne suffit pas . Et NOUS le savons ! Perçons l’abcès une bonne fois pour toute mes amis et proposons de réelles SOLUTIONS mettant un point FINAL à ce problème et à beaucoup d’autres ( si vous voyez de quoi je parle).

    Monsieur Panel, Brave Patrie, veuillez, s’il vous plait,voir en cette lettre plus qu’un simple cri du coeur à l’égard de votre combat, car c’est mon soutient inconditionnel que je vous offre.

    P.S : A tout ceux qui pense que je blague... faites attention à vous... c’est tout.

    Répondre

    • 31 décembre 2006 13:33, par Inspecteur Glouzeau (renseignements téléphoniques généraux)

      Sus à la censure !

      Ah, cher Bournichet ! Vous m’en bourrez une niche (si je puis me permettre) !! Voila qui est martialement déclamé ! Ne me dites rien... attendez... Vous êtes le notaire personnel de Jean Pierre Pernault (notre JPP bravepatriote, pas un taquineur de cuir puéril et pavlovien, un vrai journaliste, pavlovien également) !!!

      Je pense comme vous qu’il est temps d’organiser une nouvelle "Nuit des longs couteaux", que nous baptiserions "Nuit des 35 heures", ou nous mettrions à genoux ces representants de la France qui chôme et qui mendie, qui réclame son RMI en campant le long du canal Saint Martin, ou même nos plus méritant entrepreneurs n’ont pas toujours les moyens de s’installer.

      En chine, on fait payer à la famille des condamnés à mort, la balle qui leur traverse le crane ; Je propose d’adresser la facture place du Clonel Fabien. Marie Georges Buffet, ainsi acculée, serait bien obligée les comptes des collectifs antilbéraux, et ainsi, La Brave Patrie laborieuse, celle qui se tait, qui sue, qui à des difficultés, et qui boit du vin en tripotant des petits enfants, Celle là pourra enfin se lever, mais je crois que je m’avance.

      Cher notaire, sachez le, vous juissez de mon inéffable considération ; J’en ai des larmes sur la cagoule. Dans mes bras, mon Heinrich UMPiste !!

      Répondre

    • 3 janvier 2007 10:50, par Le Vieux Duc de Millau

      Sus à la censure !

      Eradiquer...
      cancrelats...
      solution... finale...

      Vous utilisez une vocabulaire qui me plait, monsieur le notaire.

      Il me rappelle les activités d’un temps pas si ancien, dans un pays pas si loin, où l’on avait su trouver les mots simples mais justes et trouver des responsables pour mettre un terme à tous les maux qui rongent un pays.

      Bien à vous,

      Répondre

  • Christophe Beck, l’ex-otage français au Vénézuela, se montre très très amer contre le Quai d’Orsay qui ne se serait dans son cas occupé strictement de rien

    Mais qui es-tu donc effronté vilain ? as-tu fait Sciences-po comme Ingrid Bettancourt ? si cela eût été cela se sut su.

    • D’ailleurs se serait-on chargé de toi, tu serais encore tout simplement au trou. Tu vois donc, imprégné bonnard, ce que tu peux être ingrat et ce que tu peux être vain.
    • Ouais et puis s’il est fauché, merde !, il a qu’à écrire un bouquin.

    Voir en ligne : http://ocsena.ouvaton.org

    Répondre

  • Déjà, si Paris était moins laid les gens seraient plus gais

    Mais si, partout, tu devais chauffer les coins de rues pour ceux qu’ont vachement froid aux mains, je te dis pas le gachis que ça ferait en énergie ! Halte au réchauffement irresponsable de la planète !

    Post scriptum :

    • Euh, excuse, mais je comprends pas nettement ta conclusion ?
    • Ben, je vais t’avouer, très franchement moi non plus ! Ou alors j’ai une première conclusion peut-être à te livrer.
    • Vas-y !
    • Première : Les salauds sont des salauds, ça c’est forcément vrai. Deuxième conclusion : les belles âmes sans doute aussi ! ça c’est moins sûr mais c’est probable.

    Voir en ligne : http://ocsena.ouvaton.org

    Répondre

  • 26 décembre 2006 07:37, par Gérard Menvuça, président à titre horrorifique de la surprise partie des éléctions

    Faut-il tronçonner l’arbre de l’UMP ?

    Je vous trouve ignoble, c’est pourquoi autant de timbrés que vous êtes (vous travaillez à la poste ?), dès qu’il y aura un arbre officiel de l’UMP, moi et mon crew on débarque pour le tronçonner, en faire du papier, et envoyer des lettres de mendicité pour lever des fonds financier pour notre partie génitale ! d :)

    Voir en ligne : http://www.i-xtasy.com

    Répondre

    • 26 décembre 2006 13:52, par Le Vieux Duc de Millau

      Faut-il tronçonner l’arbre de l’UMP ?

      Cher Monsieur Manvuça,

      Sachez que monsieur Nicolas Hulot sera présent pour empêcher tout abattage d’arbre.

      Je serais moi-même présent. Nous vous attendons donc, vous et votre "crew".

      A bientôt donc.

      PS : Sachez que l’arbre officiel de l’UMP est le chêne, et pas seulement parce qu’il produit des glands.

      Répondre

  • 21 décembre 2006 15:29, par bainiet

    faut-il composter les syndicalistes ?

    Est-il nécessaire de mettre en place un programme de compostage obligatoire des guérilleros du syndicalo-trotzkystes ?

    Peut-être bien si l’on regarde les mesures qu’ils sont capables de prôner

    Surfons sur la vague verte de monsieur Hulot, abattons les syndicalistes (et tous ces salariés qui la ramènent un peu trop) et livrons-en les dépouilles dans nos déchetteries. Faire du vert avec du rouge, voilà un slogan de campagne qui fout la trique.

    Mr Pinochet serait fier de moi
    garde à vous !

    Voir en ligne : http://www.pourceau.info

    Répondre

    • 21 décembre 2006 19:07, par Mimile

      faut-il composter les syndicalistes ?

      @ bainiet

      Je m’insurge avec la plus grande énergie contre votre proposition d’abattre les salariés !

      Comment pourrions-nous vivre si plus personne ne travaille pour nous ?

      Votre raisonnement ne tient absolument pas la rampe. Je frissonne rien qu’à l’idée que je devrais préparer moi-même mon petit déjeuné.

      Répondre

      • 22 décembre 2006 11:59, par bainiet

        faut-il composter les syndicalistes ?

        Monsieur vous êtes en retard d’un siècle

        le glorieux milieu de la finance a effectué sa révolution copernicienne
        Plus besoin d’ouvriers désormais pour enrichir l’actionnaire
        c’est les patrons qui travaillent pour nous. Un patron en faillite qui se suicide, c’est 10 patrons qui attendent de venir derrière, gonflés à bloc. Alors les ouvriers à l’hygiène douteuse merci bien, ils sont bien moins productifs.
        Le patron lui ne compte pas ses heures mon cher, il se saigne tout seul, et je vous le dis tout de go, ça fait bander les actionnaires dans les chaumières ça madame

        Bien à vous

        Répondre

  • 21 décembre 2006 13:06, par un patriote anonyme

    Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

    Vous êtes trop con : les syndicats servent aussi à défendre les salariés qui en ont parfois bien besoin.
    Sans syndicats, encore + de licenciements sauvages, encore + d’inégalités.
    Ca, vous ne l’avez pas dit dans l’article.

    Pff..

    Répondre

  • 21 décembre 2006 00:37, par Gérard Menvuça

    Anomalie cérébrale ?

    Cher Monsieur Panel,
    Vous confessant que j’eut été un grand syndicaliste,
    Depuis que j’ai un staphylocoque doré dans le bulbe rachidien,
    je vais mieux, je travaille, je suis patron,
    bref je suis devenu un bravepatriote,
    Une piste à suivre ?

    Voir en ligne : staphyl

    Répondre

    • 21 décembre 2006 08:00, par Gaston Joffroy Firmin Laporte de Derrière

      Anomalie cérébrale ?

      Pas tout à fait à suivre, mon cher Gégé (permettez cette familiarité ?)

      Puisque nous sommes ici entre gens de bonne compagnie, point n’est besoin de conserver ce masque de bien-séance. L’on sent fort bien que votre guérison est fragile : "Je travaille" dites-vous ! mais très cher - et vous en conviendrez zavec moi - le travail est une pénibilité infligée aux alcooliques et autres cancrelats fort peu sapiens ! Me feriez vous une rechute syndico-lexicale ? Et pourquoi pas "lutter", tant qu vous y êtes !

      Notre force n’est pas de travailler (beuark, c’est salissant, je crois comme activité !) Notre force est de surveiller (corriger, aussi, parfois) et chérir le fruit de la sueur du front des fainéants à qui nous faisons l’aumône d’une activité saine, alors que nous vaquons à nos indispensables activités, que je ne vous ferai pas l’affront de rappeler ici.

      Que cette petite leçon vous soit bénéfique, et allez en paix !

      GJF

      Mouvement des Entreprises Rentables De France

      Répondre

  • 20 décembre 2006 22:13, par St Racail et Ste Péronnelle, priez pour nous !

    Vos docs sont toc !

    Vous devriez savoir que l’état le plus entreprenant du monde est les îles Caïman, même pas cité. Les méduses et larves autochtones, qui peuplaient exclusivement ce beau pays il n’y a pas un siècle, ont su attirer les meilleurs requins de la planète ; les champs de boîtes aux lettres y sont toujours en fleurs...

    Répondre

    • 13 janvier 2007 22:32, par Brave patriote

      et vos chiffres optimistes

      En 2008, les iles Turcs et Caïcos auront dépassées en croissance les iles Caimans qui n’ont pas eu le courage d’éradiquer totalement les autochtones lassifs qui croyaient pouvoir vivre de noix de coco, allongés à l’ombre d’arbres bien mieux employés à faire du mobilier de bureau ! Voici comment cette faiblesse sournoisement appelée Humo, huamno, humanisme (excusez moi j’ai du mal avec les gros mots) entrave la marche glorieuse vers un capitalisme triomphant... A méditer...

      Répondre

  • 20 décembre 2006 16:30, par Silvio Musso les Nids

    Les droits acquis ? À moi !

    Gégé du café-PMU me le disait encore ce matin vers 7h autour du pastis, "en France on peut rien faire, y sont toujours en grève". Je pose donc cette question : pourquoi ne pas tout simplement supprimer ceux qui s’opposent à nous, étant donné que nous avons raison ?

    La "France qui souffre" réclame l’extermination des cheminots et la fin des privilèges des fonctionnaires qui font même pas du vrai travail. Elle veut la fin des contraintes imposées aux patrons pour qu’ils puissent encore plus facilement les rares emplois qui restent dans, par exemple, les Ardennes. La mort des retraites par répartition et la sécurité sociale à deux vitesses.

    On le voit, ceux qui souffrent sont obligés de s’exiler. Un humble intermittent du spectacle n’a-t-il pas été récemment contraint à vivre pauvrement dans un chalet de 500m² à Gstaadt ? J’en ai marre de tout cela. Et je le dis aujourd’hui devant vous : je n’abandonnerai pas les Français, je ne leur mentirai pas car ce que je dis, je le ferai.

    Ayez confiance !

    Répondre

  • Cher Monsieur Panel,

    J’ajouterais que ce qui singularise le plus les syndicalistes de tous poils est sans nul doute leur propension quasi-pavlovienne à défendre ce qu’ils appellent les "droits acquis", et notamment les avantages sociaux exorbitants dont certaines professions bénéficient et qui font par ailleurs la honte de notre nation.

    Ces droits n’ont d’acquis que le nom et il conviendrait d’y revenir, en commençant par les salariés de la SNCF et de la fonction publique, dont les avantages issus d’un autre temps feraient frémir les partisans de l’abolition des privilèges. Ainsi donc, ce n’est pas une solution chimique qu’il faut prôner mais bien une révolution réglementaire, législative et même constitutionnelle (puisque le droit de grève est un droit à valeur constitutionnelle que nous devons à l’odieux Mitran).

    Bon, je vous laisse, c’est l’heure de prendre mes gouttes et mon Tanakan.

    Répondre

    • 20 décembre 2006 14:15, par Le Vieux Duc de Millau

      Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

      Parmi les "droits acquis", citons notament le droit à l’égalité pour tous et à la défense des salariés, même ceux issus des couches inférieures.

      Est-il encore opportun aujourd’hui de défendre les droits des handicapés, des gens de couleur ou des femmes enceintes, alors que tous ces gens sont des improductifs notoires qui nuisent à la rentabilité et la compétitivité de notre économie ?

      Répondre

      • Cher Duc,

        Vous m’avez coupé l’herbe de la bouche.

        Répondre

        • 20 décembre 2006 15:53, par Le Vieux Duc de Millau

          Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

          Cher syndicat-des-eaux,

          Vous me voyez désolé de ce geste maladroit. J’espère ne point vous avoir fait mal.

          Puisque je dispose d’un temps d’écriture disponible sur bravepatrie, je tiens également à dénoncer un autre anachronisme socialo-marxiste que s’acharnent encore à défendre les syndicats :

          La retraite.

          Comment, dans notre société productiviste où la concurrence est rude, peut-on encore défendre le droit d’être payer sans ne rien faire ?
          Les retraités sont une autre cohorte d’improductifs couteux et inutiles qu’ils seraient temps d’éradiquer une bonne fois pour toute.

          Comme le clamait haut et fort bravepatrie il y a quelques articles de cela :

          LE RETRAITE, UNE IDEE DE GAUCHISTES, UNE IDEE DE FAINEANTS !

          Finissons-en avec les retraites.
          Vive Nicolas, vive 2007, vivent les réformes !

          Bien à vous,

          Répondre

          • 20 décembre 2006 16:24, par Captain Couk

            Et les retraités, alors ?

            Il faut aussi en finir avec les retraités : transformons les en steack pour les morceaux nobles, en cassoulet pour le reste.

            Je fonde de ce pas une entreprise et je décroche un marché public : il faut un minimum de morale dans cette démarche.

            Répondre

            • 20 décembre 2006 17:14, par degadezo

              Et les retraités, alors ?

              Mon cher Captain,

              Lorsque l’on parle de retraités du public ou du semi-public, il n’y a par définition aucun morceau noble. Rien que de la viande faisandée qui ne saurait servir à autre chose qu’à nourrir nos chiens de chasse.

              A ce propos, j’organise une battue festive sur mes terres angevines le soir de Noël. Nous déguiserons trois cheminots à la retraite en rois-mages et le premier qui les choppera au piège à loup recevra le montant cumulé de leurs primes de charbon. C’est-y pas une belle façon de fêter la Noël, ça ?

              Répondre

          • 20 décembre 2006 17:11, par Délateur anonyme et fier de l’être

            Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

            Euh, plus de retraites, d’accord, mais sauf pour les ministres et les parlementaires, hein, parce que bon...

            Répondre

    • 20 décembre 2006 16:21, par Silvio Musso les Nids

      Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

      Je préconise personnellement la stérilisation des employés non seulement de la SNCF et de la fonction publique, mais plus généralement de tous les salariés syndiqués et du coiffeur de JM Thibault.

      Répondre

  • 20 décembre 2006 11:13, par Le Vieux Duc de Millau

    Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

    Monsieur Panel,

    Vous oubliez de citer, dans la liste infinie des actions nuisibles des syndicats, la défense des droits des travailleurs.

    Cette défense est totalement inutile tant tout le monde sait que les patrons sont des hommes bons, sains, toujours avides d’offrir le meilleurs à leurs salariés sans céder aux appels du profits faciles ou de l’enrichissement personnel.

    Bien à vous, et encore bravo pour la lucidité de bravepatrie.com

    Répondre

  • 20 décembre 2006 11:01, par Jean Brouille

    Traduction

    Le Dalaï-lama, avec un train de retard, conteste la traduction donnée par Ségolène Royal lors de sa visite au Tibet. Il n’a jamais dit : " Il n’est, là, impossible d’arrêter une bonne pute."

    Répondre

  • 20 décembre 2006 10:48, par Délateur anonyme et fier de l’être

    Des camisoles chimiques pour les syndicalistes récidivistes ?

    Tout espoir n’est pas perdu : les syndicalistes aiment Johnny Halliday. Il suffirait qu’il les emmène avec lui en concert à Gstaad pendant quelques années pour qu’on soit débarrassé de cette vermine aux relents de communisme moisi.

    Répondre

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