Dédé Lajoie, lundi 18 février 2013 - 08:56
En temps de crise, il faut savoir prendre des décisions courageuses. Si au sein de la rédaction Maurice Panel peut parfois être taquin avec l’Union Européenne après quelques bières, il faut aussi reconnaître quand cette institution va dans le bon sens.
La récente décision d’autoriser -sans trop de délai- le retour des farines animales dans les cantines scolaires fait assurément partie de ces décisions « couillues » que l’Histoire européenne retiendra.
Il était temps ! Cela fait près de 20 ans que sous les coups de boutoir du lobby écolo-gauchiste la CEE a été contrainte de retirer du marché les farines animales. Une fable crypto marxiste avait en effet permis de prétexter l’indisponibilité intellectuelle de quelques bovins pour porter un coup d’arrêt mortel à l’artisanat de bouche du gavage industriel.
Pire, les agissements des khmers verts avaient conduit à un de ces génocides dont la fange rouge est coutumière. Aujourd’hui encore, aucun politicien patriote ne peut réprimer un frisson de dégoût en pensant à ses électeurs et au sort funeste que les écologistes ont fait subir à tant de gros bœufs. Nul journaliste n’enquêtera jamais sur cet holocauste bovin. Est-ce étonnant ? Comment peut-on espérer de gauchistes incapables de lire la souffrance dans l’œil rougeoyant du petit patron du CAC 40 qu’ils s’attendrissent sur le regard triste de la grosse vache qu’on traine à l’abattoir parce qu’elle a voulu interpréter un gangnam style dans le pré ?
Autoriser à nouveau les farines animales en commençant par les animaux du bas de l’échelle alimentaire avant de l’étendre aux cantines scolaires va pourtant dans la bonne direction. L’enfant est en effet lui aussi un peu un animal (surtout quand il mange avec ses doigts). Certes les farines animales ont un goût particulier mais les scientifiques font remarquer que si les animaux adultes ont tendance à les refuser, il n’en est pas de même avec les animaux qui en sont nourris dès la naissance. Il n’y donc pas de raison que ce qui fonctionne avec un veau de lait ne marche pas également avec un petit morveux.
Un autre avantage des farines animales est que, d’après le professeur Allègre spécialiste du GERBE (Groupe d’Etude et de Recherche Bovin sur l’Economie) : « Il est impossible d’y trouver la moindre trace de porc ni d’ailleurs de produits vraiment d’origine animale y compris parmi les deux ou trois substances inconnues que nous avons découvertes ». Ces résultats encourageants devraient ouvrir la voie à l’expérimentation grandeur nature des farines animales dans les cantines scolaires de Seine-Saint Denis. Des accords de partenariat entre le Conseil Régional, les industriels de la restauration rapide et ceux du retraitement des ordures ménagères seraient déjà en cours de discussion.
Enfin, cette décision permettrait de remettre sur le marché les stocks de farine animale qui pour certains attendent depuis 20 ans et commencent d’ailleurs à sentir un peu.
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Precious
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