La rédaction, mercredi 14 janvier 2004 - 18:22
Le Quai d’orsay a aujourd’hui exprimé son étonnement en apprenant que les entreprises françaises ne seraient pas consultées lors des attributions de marchés sur Mars.
L’information, qui date de 2001, n’a que très récemment quitté le cercle confidentiel des pétroliers texans : c’est en effet Halliburton, dont le vice-président américain Dick Cheney a été le maire jusqu’en 2000, qui bénéficiera des subventions de la NASA pour rétablir l’eau courante sur Mars.
Le ministre des Affaires Etrangères, Dominique de Villepin, n’a pas caché son indignation : "C’est insensé ! Aucune preuve tangible n’existe quant à la présence d’armes de destruction massive sur Mars. En choisissant une solution unilatérale, les Etats-Unis prennent le risque de se mettre le système solaire à dos, et à cette distance, frappes chirurgicales ou pas, on risque tous de morfler sévère !"
Diffusez les vraies valeurs ! Partagez cette dépêche !
Vous pensez qu'un sympathisant de l'UMP peut être intéressé par cette page ? Faites-la lui découvrir !
Accédez gratuitement à une information impartiale et libérée du joug marxisant des media de masse, où vous le voulez et quand vous le voulez !
Opéré par FeedBurner
Il vous semble que l'Histoire bégaie ? C'est bien le cas, et comme prévu c'est une farce :
3 février 2006 : Brave Patrie s’insurge contre les caricatures du Prophète - c’est quoi, son nom, déjà ?
Vous êtes outragé dans votre France ?
Vengez-vous avec classe et panache grâce à notre Outrageotron® !