La rédaction, mercredi 14 février 2007 - 17:22
Renvoyant à la préhistoire les odieuses commissions de sur-endettement instituées (au profit des gens qui prennent un malin plaisir à vivre aux crochets de nos institutions bancaires) par les lois iniques de l’ère socialiste, le conseil municipal de Levallois-Perret a tiré un trait ferme et courageux sur les sommes dues à la ville par son plus important débiteur particulier : son maire, Patrick Balkany.
Le faible montant (230.865,57 €) restant dû par l’intéressé, excédant probablement les frais induits par son recouvrement, ainsi que la situation sociale particulièrement difficile du débiteur, n’ont pas été les seuls motifs de cet élan de charité auquel ont souscrit comme un seul homme les habitants de la bourgade altoséquanaise.
Car bien au-delà de la seule préoccupation humanitaire, c’est le bien-fondé d’une telle réclamation pécuniaire qui paraissait, à tout le moins, sujet à caution.
Le petit reliquat que le Trésor Public s’acharnait jusqu’alors à réclamer à l’élu correspondait en effet aux intérêts dûs suite à sa condamnation pour l’emploi à des fins personnelles de trois fonctionnaires municipaux.
Si le citoyen lambda ne pouvait que se féliciter du fait que trois membres de cette caste parasitaire aient enfin, par cette entremise, découvert les sains plaisirs que procure le travail, certains magistrats un peu tatillons avaient vu dans cette pratique une infraction au Code pénal, voire un délit passible de sanction.
A bien des égards, M. Balkany était donc, dans cette affaire, la victime d’une interprétation minoritaire et partisane de la loi, à laquelle ont cru bon de se livrer certains juges rouges qui, d’ordinaire, ne sont pas foutus de poursuivre les voleurs de pommes.
La remise gracieuse demandée par le conseil municipal de Levallois tombe en tout cas à point nommé pour réparer cette injustice. L’annonce d’un effacement prochain de cette créance permettra a l’intéressé de retourner dignement reprendre possession, auprès du mont-de-piété, de son .357 à crosse de nacre, accessoire si précieux pour pimenter les nuits de Saint-Valentin.
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26 octobre 2007 19:24, par barbouze
pas degueullasse juste logique !!!
quand vous faites appel et que votre appel aboutti a une condanation executoire les condamnés n’ont pas a payer aux impots des interets dus a la lenteur de l’administration penale !
les interets ne devrais courir qu’a partir du jugement definitif !
1er avril 2007 23:24, par felix925
depuis la nuit des temps les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent : "Machiavel"
16 février 2007 13:15, par Arquiduche de la Motte-Piquet Grenelle
Vous vous trompez : la remise gracieuse accordée à M. Balkany aurait été le fruit d’âpres négociations après l’irruption d’un forcené dans la salle du conseil municipal de Levallois, et qui aurait tiré plusieurs coups de feu sur les lustres délicats à l’aide de son .357 à crosse nacrée.
L’intervention courageuse de Vanessa et Alexandre Balkany, employés municipaux chargés repectivement de la french manucure et de la configuration du DNS de ville-levallois.fr, aurait permis de résoudre le conflit en trouvant cette solution à l’amiable.
Isabelle Balkany, quant à elle, aurait commenté l’incident avec sa malice et élégance naturelle, par un pet sonore dont l’écho dans la salle du conseil (environ 12 seocondes) impressionne toujours les journalistes, plus habitués aux chuchotements des caves franc-maçonnes.
26 octobre 2007 19:31, par barbouze
en plus vous avez oublié de mentionner les rails de coke plus les petards piqués aux journalistes de mariane et du canard dechainé sans compter la presence du president bush applausissant comme un dératé en appelant avec sa troisieme main son copain poutine pour lui faire partager ce grand moment de public fiction de la cinquieme dimension .......
ahhh quand le rève de militants perdus par les défaites a repetitions se transpose sur la toile ca donne de vrais polars de science fiction ...
15 février 2007 14:12, par Délateur anonyme et fier de l’être
Oui, du moment qu’ils ne sortent pas de leurs camps, ils font ce qu’ils veulent, les marginaux !
14 février 2007 20:32, par michel CHAPPUIS
Il est évidement plus facile et juste de condamner un voleur de pomme à qq mois de prison que quelqu’un qui détourne 230000€ ! !
on appelle ça la justice JUSTE ?
michel Chappuis
18100 Vierzon
15 février 2007 18:39, par T.O.
Pauvre Pomme !
Lisez bien l’article. Il a beau être venimeux il précise que la somme en question correspond à des intérêts. Si vous avez la recette pour détourner des intérêts faites nous signe !
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dégueulasse
Un patriote anonyme
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