Alors que le gouvernement met tout en œuvre pour éradiquer la délinquance dans les zones urbaines, un témoignage perturbant nous parvient du Var rural, qui met en évidence les accointances entre le Parti Socialiste et les puissances de l’étranger.

Le Haut Var, avec ses collines sèches, ses cigales, son petit pastis pendant le jeu de boules et sa population ethniquement pure grâce à un savant mélange de consanguinité et de ratonnades du samedi soir, semble être un havre de paix.
Semble seulement, car si l’absence d’étrangers devrait mécaniquement y rendre inexistante la délinquance, la zone n’est pas exempte de criminalité et en particulier d’un trafic de drogues extrêmement dures.
C’est le témoignage d’un habitant de Figanières victime de ce trafic qui a alerté les autorités.

Dans une vidéo filmée [1] au péril de sa vie, Jakou, un aimable sexagénaire comme ce sympathique terroir sait en produire, y décrit l’enfer qu’il vit depuis plusieurs semaines, un cauchemar auprès duquel Requiem for a Dream fait figure d’un épisode des Teletubbies.
Avec courage, Jakou y montre en images l’ingestion forcée de drogues à laquelle il a été soumis et dont il ne semble pas encore s’être remis.
Et surtout, il accuse le Parti Socialiste local, qui chercherait à le faire taire par tous les moyens.
Un Parti Socialiste qui sabote gaillardement la vie des Français quand il ne se trouve pas d’étrangers pour le faire.

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP que le LSD a fait beaucoup souffrir dans sa jeunesse, a courageusement pris la défense de Jakou et déclaré que toute la lumière sur les événements serait faite au plus vite : « Le PS a toujours instrumentalisé la délinquance. Aujourd’hui, ils en tirent les ficelles. Combien de Papy Voise avant que la France comprenne ? Jakou, aujourd’hui, nous ne le laisserons pas tomber. »

Alors, Parti Socialiste coupable ou pas ? Nous nous garderons bien de juger avant que le ministre de l’Intérieur n’ait pris position.
Nous laissons toutefois nos lecteurs se faire leur propre avis au vu du terrifiant témoignage de Jakou :

Et à Jakou nous signifions toute notre sympathie. Montrez-nous vos les dealers, Jakou, nous irons leur dire deux mots !