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Ces grandes erreurs historiques oubliées par Le Point

Dédé Lajoie, lundi 14 novembre 2011 - 08:57 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

Le président n’a jamais cessé de se battre pour la liberté de la presse et la libre expression des idées modernes qui caractérisent sa pensée millénaire. Malheureusement, tel un jeune chiot qui cherche à mordre le maître qui le nourrit, la presse a de moins en moins la reconnaissance du ventre.

Dans le paysage journalistique français, il reste heureusement quelques solides rocs de la pensée vraie sur lesquels le patriote peut s’asseoir pour se reposer après une longue journée passée à pourchasser le néo-alter mondialiste.

Si le Figaro est indiscutablement un de ces rocs, le Point, plus timide, se veut le petit caillou dans la marche de la Gauche et de la bien « pansance » (oui, ventru Monsieur Hollande c’est bien à vous que la rédaction pense en se grattant les cheveux en brosse).

La couverture de l’édition du Point de cette semaine « les grandes erreurs de l’Histoire » renoue avec la tradition française du journalisme de combat qui, de Jean-Pierre Gaillard à Eric Zemmour a toujours su accompagner le peuple vers le prêt-à-penser poli, correct et digeste pour le repas du dimanche midi. De l’impérieuse nécessité pour le lecteur-électeur de voter « Oui » au Traité établissant une Constitution pour l’Europe, à l’indispensable réforme des retraites en passant par le spectacle permanent de nos banlieues à feu et à sang, le journalisme français a été sur tous les fronts du modernisme.

Au chapitre des erreurs de l’Histoire, il est ainsi rassurant de trouver un article sur l’entrée de la Grèce dans la zone euro. L’argument principal du Point est que les grecs ont menti sur l’état réel de leur économie ce qui prouve que soit les Grecs sont très bons en PowerPoint, soit l’auteur de l’article ne connaît pas les fondamentaux de la vie en entreprise.

Une simple observation sur le terrain au moment de la candidature de la Grèce aurait pourtant suffi à semer le doute. N’importe quel représentant de l’UE aurait ainsi pu constater qu’en 2001 le pays était déjà un champ de ruines avant même l’arrivée du FMI. Quant au psychodrame de la souffrance du peuple grec, une simple visite à Mykonos suffit pour réaliser que le grec n’aime rien tant que se mettre à genoux devant un représentant mâle.

Il nous semble toutefois que le dossier du Point est partiel et que certaines erreurs historiques ont été oubliées. En exclusivité pour ses lecteurs (y compris grecs), Brave Patrie apporte un complément à l’excellent dossier du Point.

1936, le front populaire :

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Front populaire

Mal élevé l’ouvrier ne se lave même pas les dents quand il entre au gouvernement

En 1936, par un habile jeu de passe-passe que d’aucuns appelleraient « olé olé » (c’est d’ailleurs la guerre en Espagne), la gauche s’empare du pouvoir avec sa grosse poigne avide. Rapidement, c’est la gabegie : l’ouvrier ne travaille plus que 40h par semaine et un patronat exsangue (qu’on dit réduit à seulement 200 familles) doit lui payer deux semaines d’oisiveté annuelle (en plus des dimanches où il préfère sombrer dans l’alcoolo-communisme plutôt que d’aller à la messe [1]).

Trois ans plus tard, quand une Allemagne un peu chaudasse décidera de faire une Europe « Hergestellt in Deutschland », le haut commandement français, miné par le doute, perdra beaucoup de temps avant de trouver un homme à la hauteur.

1944 : Le droit de vote aux femmes

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Le droit de vote des femmes

donne les cheveux gras (ce qui énerve les hommes)

Dans l’affolement et la débandade causés par les troubles de l’année 44 (hiver 43 particulièrement vigoureux, floraison du tournesol en retard, maigre récolte de la pomme blette en Normandie), le nouveau gouvernement décide un samedi soir d’accorder le droit de vote à quelques unes de ses représentantes si on fait ça « rapidement ici et tout de suite et fissa contre l’armoire ». C’est que l’avancée de l’armée rouge étant stoppée en Allemagne, il est temps pour les guerriers de se reposer.

Par un de ces artifices dont l’Histoire à le secret, ce qui ne devait durer qu’une nuit s’est curieusement prolongé jusqu’à nos jours. Plus prudente et résolument plus moderne la Suisse attendra 1971 avant de se résoudre à laisser à son tour le beau (mais faible) sexe s’exprimer avec la main. Un choix judicieux si on compare la fiscalité de nos deux pays.

2000 : les 35 heures de Martinaubry

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Détestable exception française

Grâce à la semaine de 100 heures, Chang et Ling ont retrouvé leur dignité par le travail.

Avec la réduction du temps de travail aux 35 heures à l’aube des années 2000, la peste rouge qui a violé le sanctuaire de la République par effraction plante un couteau dans le dos d’une croissance balbutiante s’essayant péniblement aux marchés sous le joug jospinien.

Dans le monde entier on rit de cette gauche déconnectée de la réalité vraie du terrain des Comités de Direction. Même dans l’électorat ouvrier, bastion habituel de la grève et du vin dans les bouteilles en plastique on fustige les erreurs de calcul de la gauche : de Saïgon à Shenzhen en passant par Mexico ou Lahore c’est autant de peuples rieurs qui redécouvrent les joies du travail de nuit et des trois huit permettant de nourrir pour une bouchée de pain leurs familles.

Notes

[1En Allemagne il ne va déjà plus à la synagogue.

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Réactions à Ces grandes erreurs historiques oubliées par Le Point

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Déjà 89 réactions.

Déjà 13 réactions.

  • 26 novembre 2011 19:14, par L'avis du psy

    C’est vrai ça ? et c’est…

    C'est vrai ça ? et c'est bien payé ? faut envoyer un cv ou bien ?
  • 26 novembre 2011 19:13, par L'avis du psy

    La verve n’est rien sans…

    La verve n'est rien sans la joie.
  • 17 novembre 2011 20:03, par Urbain Costes-Quyleures

    Vous avez raison à propos…

    Vous avez raison à propos de Monseigneur Koala, il doigt augmenter son turn-over s'il veut garder le leadership!
  • 16 novembre 2011 20:17, par j'ecrirai pas mon nom mon nom mon nom mon nom mon nom mon nom mon nom mon nom ici

    Monsieur Lajoie vous êtes…

    Monsieur Lajoie vous êtes le King Size du journalisme d'investigation moderne; toutes mes félicitations à vous et à madame Lajoie.
  • 15 novembre 2011 22:59, par Monsieur Nicolas

    Je vous remercie.

    Je vous remercie.
  • 15 novembre 2011 22:52, par Dédé Lajoie

    laissez la verve de Monsieur…

    laissez la verve de Monsieur Kala en paix (elle se repose), pour le reste, vous ne perdez rien à essayer ! Jamais nous ne jetterons la pierre à un patriote sincère ! et au pire si le texte ne passe pas les fourches caudines de la sélection on peut en discuter autour d'une bière (...)
  • 15 novembre 2011 13:42, par Jaques Huze

    Sur la une du Point sus-cité,…

    Sur la une du Point sus-cité, on remarque que la ligne Maginot n'apparait qu'en 4ème position...pourquoi donc ?
  • 15 novembre 2011 02:01, par Maikouye Sonplaine

    J’entend bien votre invitation.…

    J'entend bien votre invitation. Elle me touche au plus profond. J'aimerai bien franchir votre porte (pas celle de l'arrière évidemment) mais je n'arrive pas à votre niveau d'analyse et d'expression. Je souffre de constipation à ce niveau là. Vous m'en voyez contrit. UMP : à propos du sujet Kala, je (...)
  • 14 novembre 2011 23:34, par Dédé Lajoie

    hum hum, Monsieur Kala est…

    hum hum, Monsieur Kala est notre deuxième gourou après Nicolas. Je ne peux souffrir que vous insultiez la qualité de son travail. Quand vous vous serez enfoncé profondément un doigt dans le séant vous saurez combien il est difficile de l'en sortir. Ceci étant dit la porte est ouverte à nos estimés (...)
  • 14 novembre 2011 21:49, par Maikouye Sonplaine

    le problème c’est bien tous…

    le problème c'est bien tous ces rastacoueres
  • 14 novembre 2011 21:44, par Claude Ratinier

    Merci pour cet excellent…

    Merci pour cet excellent article. Et c'est vrai que la Brave Patrie peut s'honnorer de compter une presse libre, objective, et indépendante, comme le Figaro. Quant à la Grèce, l'idée qu'elle puisse enfin sortir de l'Europe me réjouit le coeur, on pourra se débarasser une fois pour toute de Demis (...)
  • 14 novembre 2011 21:33, par Maikouye Sonplaine

    Bel article Dédé. Une…

    Bel article Dédé. Une question me turlupine toutefois. J'ai l'impression qu'il y a eu un plan social chez bravepatrie ? Putain, il fut un temps, on avait pas besoin d'attendre 3 jours pour se delecter de nouveaux articles. La hormis Dédé qui barre dans la tempête, son second Didier Kala qui ces (...)
  • 14 novembre 2011 15:21, par MHPA

    Bravo, et vive le Maréchal,…

    Bravo, et vive le Maréchal, qui de son temps, sut donner le sien aux Français (parce qu'il ne chipotait pas sur les heures, lui) .

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