Il règne une chaleur torride dans la ville de Bam et les citoyens pleurent les disparus. Le bilan fait état de plus de 40 000 morts, mais le gouverneur de la province de Kerman croit que le bilan pourrait atteindre 50 000 victimes.

Ces informations nous rappellent bien entendu, les heures douloureuses qui ont secoué notre brave patrie cet été causant la disparition de centaines de retraités. Evidemment grâce à la police, l’armée, et aux infrastructures sociales et sanitaires, une telle catastrophe climatique n’a fait que 15000 morts en France. Le bilan est déjà bien plus lourd en Iran.

Déjà cet été, comme un signal d’alarme, l’agriculture a particulièrement souffert du manque de précipitation, indiquait le service iranien d’information agricole. Depuis le thermomètre n’a cessé de grimper en Iran. Selon un bilan officiel quasi-définitif publié samedi, la chaleur a fait 40 000 morts et dans la province de Kerman à environ 1 000 km au sud-est de Téhéran.

Jean-François Mattei a pris immédiatement pris contact avec son homologue iranien pour la santé. Le ministre français s’est montré rassurant auprès de son interlocuteur iranien : « au moins ton problème des retraites est reglé ».

Toutefois Il lui aurait recommandé de bien faire attention et de n’accepter aucune interview télévisée en bras de chemises.
Afin de participer à l’aide internationale, le gouvernement a décidé d’inclure le drame iranien dans le plan de réforme « hopital 2007 ».

Ainsi la Pitié-Salpêtrière pourrait délocalisée à Bam, ce qui solutionnerait les problèmes de salaires et renforçait la capacité d’accueil dans cette province sous équipé. « Et puis c’est pas là bas qu’on ira m’emmerder pour le manque d’infirmières » ajoutait courageusement le ministre de la Santé.

« Ce drame nous invite à une plus grande collaboration entre nos deux pays. Et nous commencerons par régler le problème des armes de destruction massives en envoyant 22000 policiers-inspecteurs en Iran » proposait ce matin Jean pierre Raffarin. Satisfait, Nicolas Sarkozy trouvait enfin une solution efficace au problème de surpopulation des commissariats.

En réponse à cet enthousiasme français, le ministre des affaires étrangères iranien aurait déclaré : « finalement on préfère faire la paix et accepter l’aide israélienne ».
Le président Chirac pourra ainsi se féliciter de la réussite du grand mouvement d’entente cordiale que notre pays sait insuffler à travers le monde.