John Bigballs, mardi 11 avril 2006 - 09:24
Depuis les élections de 2002 où il a reçu les pleins pouvoirs des mains d’un peuple rendu hystérique par l’espoir de sa libération du joug communiste, les petits mots blessants n’ont cessé de fuser à l’encontre du chef de l’Etat, et ce sans aucun respect pour la haute fonction exercée par M. Chirac. L’on sait que l’homme n’a que faire de ces bassesses. Il n’y a d’ailleurs jamais répondu. Néanmoins, échéances électorales arrivant à grand pas, la dialectique marxiste porte ses flèches sur d’autres cibles.
On se souvient de l’insolent “vieux, usé, fatigué”, lancé avec fracas par un candidat absentéiste du second tour. L’affaire dite du « cancer du sonotone », pour être grotesque et infondée, fit néanmoins les choux gras du gauchiste Bayrou et de l’organe rouge fluo de son parti politique. Moins connu du grand public, mais largement diffusée dans les cercles d’initiés, la disparition de l’association des amis de Jacques Chirac n’en fut pas moins un vil coup en dessous de la ceinture commandité en catimini par les vassaux de Pyongyang. Tant de coups médiatiques destinés bassement à déstabiliser le chef de l’Etat en visant l’homme à travers la fonction présidentielle, ne Lui semblaient pas avoir besoin d’être relevés.
Or, depuis peu, un changement de tactique se fait observer, plus dangereuse car n’hésitant pas à frapper l’institution présidentielle dans l’objectif de décrédibiliser l’exercice fait par l’homme de sa haute fonction. C’est ainsi que, de ci de là, l’on peux lire des attaques virulentes commentant les décisions du chef de l’Etat.
Prenant appui sur les dires de soit-disant constitutionnalistes latinisants, probablement en mal de déclinaison, dissertant comme la première poissonnière venue des subtilités innovantes des démarches présidentielles quant à la façon de faire voter des projets de loi, ces gens se pavanent devant les médias en agitant des bouts de constitution tronquée et des alinéas conjugué à l’imparfait du subjonctif pour tenter de démonter la crédibilité du chef de l’Etat.
A les entendre, ils étaient là, en octobre 1958, enfermés dans un cabinet, à tenir la plume de Messieurs Debré et de Gaulle. Or il n’est pas nécessaire de lire l’intégrale des mémoires de l’amiral pour savoir que le grand Charles ne s’est tout de même pas cassé les rognons à pondre 15 pages de dissert’ pour se retrouver avec une bande d’interprètes latinistes qui lui phagocyteraient le képi ! La haute fonction présidentielle sous la Vème, initiée par le Général, aspire à d’autres sphères. Car à la vérité, il n’y qu’une seule chose à retenir de la Constitution du 4 octobre 1958, juste un seul et unique principe énoncé tout au long du titre II, et qui tient dans une unique phrase qui est :
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FAIT CE QU’IL VEUT AVEC SES CHEVEUX
Le reste du texte, magnifique exemple d’équilibre théorique entre l’exécutif, le judiciaire et le législatif, produit des philosophes Montesquieu et Locke, n’a d’autre utilité que de permettre de ne pas se trouver pris de court quand, par malveine, il n’y a plus de papier aux toilettes.
A partir de cette base là, base saine, si ça lui chante, au président, de promulguer une loi et dans la foulée d’en interdire l’application pour finir par retirer le texte, qui, mieux placé que Lui, peut bien savoir ce qui est le plus adapté à enrichir la réflexion sur le CPE ?
Aussi, et afin d’éclairer les constitutionnalistes pointilleux, il est bon de dire que ce grand homme d’Etat qu’est Jacques Chirac, dopé par une légitimité populaire jusqu’alors jamais atteinte, peut dès lors, à tout instant et quant il le désire :
Commander pour 4000 € par jour de Chocapic©
Appeler à la responsabilité de tous
Remettre à flot et couler une seconde fois le Rainbow Warrior
Dissoudre l’Assemblée Nationale
Déclarer la guerre à l’Allemagne
Appuyer sur le bouton rouge
Recoloniser l’Algérie
Montrer son zguègue au fort de Bregançon
Ce qu’il veut... surtout s’il estime que c’est nécessaire et que cela permet par là-même de renvoyer tout les inconditionnels de Lionel Jospin retourner pelotter des chèvres sur l’île de Ré pendant 5 ans !
Le dictateur Mitterand disait de M. Chirac qu’avec Lui ce serait pittoresque. Chaque jour, avec style, M. Chirac lui répond qu’avec lui c’était chiant.
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puant dégueulasse
Un patriote anonyme
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