Société

Compiègne feiert ihre gloreiche Vergangenheit

La rédaction, samedi 18 octobre 2003 - 12:08 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

La Kommandantür de Compiègne a décidé de remédier au déficit chronique d’emplois du bassin de l’Oise en créant 400 postes de guides accompagnateurs en costume traditionnel de milicien, sous la forme d’emplois jeunes aryens.
Cette décision économique courageuse fait suite au choix de la ville de réhabiliter l’immense médecin Alexis Carrel, dans le cadre de la mise en valeur du patrimoine historique et culturel de la région.
Parallèlement, elle démontre la farouche volonté de l’UMP de combattre les thèses du Front National pied à pied, si besoin est en fauchant l’herbe sous les leurs.

Quelques conseillers municipaux trotsko-staliniens se sont élevés contre ce choix, sous prétexte que M. Carrel avait conseillé le maréchal Pétain, le vainqueur de la Marne. Cette démonstration de mauvaise foi a cependant été laminée par la fort juste remarque de l’adjoint Michel Woimant : le gazage des Juifs, des communistes, des homosexuels, des Romanichels, etc. n’était en définitive qu’une "large application de la peine de mort", encore en vigueur à l’époque.

Il est bon que nous soyons samedi, vous pouvez gerber sans que ça se voie trop au travail demain.

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Réactions à Compiègne feiert ihre gloreiche Vergangenheit

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Déjà 6 réactions.

  • 20 octobre 2003 10:53, par Groufo

    > Compiègne feiert seine gloreiche Vergangenheit

    Bonjour,

    Juste une petite remarque : Compiègne étant une ville, est du genre féminin ("Die Stadt Compiègne"). On n’écrit donc pas "seine" mais "ihre".
    Enfin, il me semble.

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    • 20 octobre 2003 11:48, par Didier Kala

      Mea culpa

      Monsieur,

      mes derniers stages en Allemagne datant de la sombre période à laquelle les sujets asservis des dictatures communistes séquano-dyonisiennes étaient envoyés en camp de rééducation aux alentours de Cottbus et autres villes de triste renommée si par malheur on leur retrouvait des fibres de big mac entre les dents gâtées par un terrible régime à base de goulasch, ceci couplé aux carences notoires du louche et cosmopolite poisson-babel, ainsi qu’à nos efforts actuels d’apprentissage du corse (et malgré l’étrange proximité du langage du nationaliste avec le parler nazi), cela est en effet fort possible.
      Merci donc pour votre remarque. L’allemand étant historiquement la deuxième langue préférée de nos plus grands patriotes, notre faute est inexcusable, et hop, voilà, c’est corrigé.

      Bien à vous,
      Dieter Kala

      Répondre

    • 21 octobre 2003 10:50, par Jean-François, Munich.

      > Compiègne feiert seine gloreiche Vergangenheit

      Et puis « glorreich », ça prend 2 R.

      Hélas ! On reconnaît bien là les stigmates du long et sordide directoire des pouilleux trotsko-européistes, qui ont promu dans notre BravePatrie la parlure cosmopolite anglo-saxone au lieu de la stricte mais droite phraséologie germanique.

      Le cabinet BravePatrien libéré se ferait honneur aujourd’hui, de savoir enfin saisir la main fraternellement tendue en 1940 par le 3ème Reich afin de bâtir l’Europe des Braves Patries, libre et puissante, dont la capitale serait bien sûr Compiègne.

      Répondre

  • 18 octobre 2003 19:44, par Adolph (dide guéguette.(za z’est Efa gui m’abelle comme ça))

    > Compiègne feiert seine gloreiche Vergangenheit

    Abrés zavoir zurvé sur wotre zite ein betite moment, ché mé renconte qué fous pouffez mayday.

    Ché zoui à la réchèrge d’un embloi victif dé prévérencze grazement bayé.
    Cette artigle m’intebèle au plus haut pointe. Ché vais mes breuves.
    Un boste d’adminiztradeur en gef me suvirait si tant est gu’il me laize le demps de m’ogupper des avaires en cours. Fous bouvez conzulter mon CV zur toutes les blaques commémoradives en eurobe. En blus che zouis tout bedit et che ne brends bas pocoup de blace.
    Chatemir pocoup fotre minisdre de la zéguridé ainzi gueu votre vénixz du Hô Boitou. Guelle geanze a la vranze, quel rayonnebant ch’en ai la larbe à l’oeil (non l’autre).
    Et fotre miniztre de la zanté ! n’aurai-d-il bas déjà dravaillé bour boi ? Tailleurs ché di à ma chère Efa : "tu foi Rosselyne, ce dype là, il ira loin... zi les betits gochons le mange pas ha ha ha." Chabelle Eva Rosselyne en l’odeur de la fotre de Rosseline gar elle à braiement les bieds zur terre.

    Pon, ché grois gué fous aurez gompris mon messache
    ich,bardon, che fous laiche. A pientôt.

    Répondre

    • Votre article est fort intéressant et stimulant pour notre belle jeunesse mais cette référence incessante des patriotes français à la langue allemande qui semblerait plus porteuse que celle de Maurras et Aragon de nos valeurs ancestrales m’agace quelque peu. Pourquoi la force et la dignité de nos idées fièrement réactionnaires s’exprimeraient-elles mieux à travers des germanismes, alors que notre idiome national possède des ressources au moins égales à celles du langage du mythique IIIe Reich ? Certes, Gide et Jarry défigurent notre littérature, mais les Allemands n’ont-ils pas Kafka et Ceylan ? Certes, le Reichsführer est une icône intemporelle du tribun populaire, mais pourquoi oubliez-vous la sophistication d’orateurs nationalistes français, tout aussi brillants et plus vivants, tels Messieurs Adler et Slama qui nous donnent des leçons de raison et de tradition chaque matin sur France-Culture, et résistent vaillamment à l’invasion de la pensée unique socialo-écologiste ?

      Avec toutes mes salutations les plus respectueuses,

      Marie-Hyppolite-Théodore Batrière de la Herse, baron de Thomeville et vice-marquis de Dursé-sur-Teule, Chevalier des Arts et Lettres, membre de l’Académie des Anciennes Inscriptions, Grand Officier de l’Ordre National du Drapeau.

      Répondre

      • mais vous noterez que l’emploi de la langue germanique permet d’installer de suite un cadre de référence avec lequel chaque Européen continental est familier, grâce à la formidable mission de service public assumée par les télévisions lorsqu’elles diffusent des documentaires pointus comme Stalag 17, Papa Schultz ou le pastiche de journal télévisé est-allemand d’Arte.

        Bien à vous,
        Didier Kala

        Répondre

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