John Bigballs, vendredi 3 octobre 2003 - 12:21
Symbole de vertu morale et de planning budgétaire serré, la cravate fait un retour triomphal, finies les tenues débraillées de l’ère post soviétique ! Après deux décennies de relâchement, la rigueur est enfin revenue dans la mode comme dans les finances de l’Etat !
Vive le strict !
A bas le casual socialiste, dont le port exprime aujourd’hui la loose des startups gauchisantes et faillitaires à l’image des partis politiques Trosko-Staliniens incapables d’adaptation et mauvais gestionnaires des deniers publics car mal sapés.
La cravate fait son come-back et nos dirigeants ont de nouveau l’air de quelque chose, ce qui tranche avec nos pouilleux ex-dirigeants communistes habillés à la sauce épouvantail et dont on ne pouvait, bien sûr, dès lors pas attendre grand chose de sérieux !
Banques, industries, administrations, tribunes politiques et médiatiques, les lieux du pouvoir sont enfin redevenus les places fortes de ce bout de tissu essentiel à toute bonne réforme de l’Etat et à toute tractation financière digne de ce nom.
La cravate, insigne de pouvoir et donc de respect, est le symbole de ce renouveau brave patriote auquel nous assistons, émus, ici, à la rédaction de Bravepatrie. Car sans cravate pas de respect ! Et sans respect et bah plus rien ! Que du bordel socialisant-jean-foutre !
En effet, Comment se faire respecter dans l’univers de la politique, de la finance ou même de son épouse et de sa progéniture, lorsque l’on se rend au bureau affublé d’une tenue de plage et le tout assorti à un rasage effectué à la gomme ? Ca n’est pas sérieux !
De même qu’on ne reforme pas l’Etat avec une cravate jetée nonchalamment par dessus l’épaule et un col dénoué voir mal ajusté, de même comment négocier des accords militaires, commerciaux ou encore réduire le taux de fainéabilité des fonctionnaires sans une Armani, une Gucci, une D&G, une Dior, ou, à la rigueur mais nous ne le conseillons pas, une Versace autour du col ? Impensable !
Aussi, soyons sérieux si l’on veut être pris pour tel ! L’habit fait le moine, on le sait bien ! Par exemple, un intermittent habillé en péruvien ne peut être, c’est l’évidence même, qu’un dangereux trotskiste du Sentier Lumineux enivré de feuilles de coca et prêt à commettre une action terroriste contre le patrimoine culturel de notre Bravepatrie.
De même qu’un jeune sur un scooter est forcément un dealer de drogues dures ou un aficionado de la tournante à la recherche d’une cave et d’une charmante petite vieille pas trop sèche pour commettre ses ignominieux forfaits.
De même qu’un politicien sans cravate ne peut être qu’un dangereux espion à la solde de Moscou et aux intentions uniquement tournées vers son parti et non pas vers l’interêt de sa Bravepatrie comme le laisse par contre aisément déduire le port de la cravate !
Ha ! Qu’il est bon et rassurant ce retour à nos vraies valeurs vestimentaires d’antan qui ont su faire le succès d’accords de paix tels que ceux de Munich !
Enfin la Bravepatrie retrouve un à un ses repères ! Et ça fait du bien !
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