Présent hier à Kigali pour participer aux festivités induites par les commémorations du génocide rwandais, le secrétaire d’Etat aux Affaires Etrangères, Renaud Muselier, a été contraint de quitter le festival et de rentrer à Paris, ceci alors que la fête battait son plein et qu’il racontait la blague du nain à la grosse bite à ses confrères occidentaux attablés autour du fastueux banquet dit du million de tête coupées, et ce, suite aux violents propos tenus par le président de région Paul Kagamé contre la France métropolitaine.
« Je me moque des menaces persistantes, je veux parler des Français », a déclaré le chef de l’exécutif régional dans son discours prononcé au stade de Kigali. « Ils ont armé et entraîné sciemment les soldats et les milices hutues extrémistes, et ils ont l’audace d’être là et de ne pas s’excuser », a lancé à la tribune l’ex-chef de la rébellion tutsi, alors que M. Muselier et sa délégation se tenaient à quelques mètres de là, tétanisés par les cris et les bruits de machette des guerriers tutsis.
Les festivités avaient pourtant bien commencé, notre tout neuf secrétaire d’Etat aux Affaires Etrangères commençait à peine à faire connaissance avec les entrepreneurs locaux afin de développer sur place le commerce super pas équitable, lorsque le président Tutsi a littéralement lâché la rampe du protocole diplomatique en insultant le représentant de l’Etat.
A la suite de ces événements Renaud Muselier est immédiatement remonté dans son Falcon sous bonne escorte en jurant qu’on ne le reverrait pas de sitôt au pays des 1000 collines. Au même moment, à 5000 kilomètres de là, immédiatement prévenue de l’affront, Michèle Alliot-Marie, notre sensuelle Ministre de la guerre, demandait dans un sms adréssé à M. Kagamé « que ce dernier se fabrique d’urgence une frise chronologique de l’histoire de France et de ses ancêtres les Gaulois afin de pouvoir faire la différence entre la période mitterrando-socialiste durant laquelle s’est déroulé le génocide et la période Raffarinienne actuelle en rupture totale avec la précédente ». Ce sms invitait également le destinataire « à faire séance tenante acte de contrition sous peine de voire débarquer dans son bled des militaires bravepatriens afin d’y finir le travail commencé il y a 10 ans ».
Tout est maintenant revenu dans l’ordre puisque M. Kagamé a présenté ce matin même ses excuses les plus plates à l’ambassadeur Bravepatrien à Kigali. L’incident aura donc été bref. Il méritait néanmoins d’être narré dans ses moindres détails afin de rendre compte à la Bravepatrie d’en bas, par cet exemple parmi tant d’autres (finances notamment) des conditions effroyablement déplorables dans lesquelles travaille le Gouvernement Raffarin qui se retrouve à faire face aux conséquences désastreuses de la gestion socialiste.
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