Didier Kala, mardi 8 octobre 2002 - 12:51
Alors que le trotsko-collectivisme dont notre brave patrie a souffert durant les années de plomb s’estompe dans le domaine des noirs souvenirs de la Nation, la question suivante se pose : doit-il y avoir un pardon ?
Au-delà de l’aspect rhétorique et du respect des valeurs fondamentales de notre société chrétienne apparaissent des enjeux plus prosaïques, enjeux dont notre gouvernement doit se saisir pour enfin, définitivement, assainir la France en éradiquant les dernières moisissures putrides polluant l’inconscient collectif. La réconciliation nationale se fera à ce prix.
Nous en avons tous connu, des gauchistes de complaisance, ces innombrables Français d’en-bas, du milieu et d’en-haut, là, derrière le poteau, qui ont mollement suivi la dictature socialiste par facilité, parce que "la majorité l’avait décidé". Si certains anarchistes d’alors avaient choisi la collaboration par intérêt, pour assouvir leurs goûts pervers et ignobles, n’oublions pas que l’immense majorité souffrait en silence, feignait d’accepter cette soumission immonde par peur de la répression - cette terrible police politique ironiquement nommée "les intellectuels".
Pouvons-nous les blâmer ? Blâmerions-nous le chétif vieillard innocent qui se recroqueville, en vain, pour amoindrir la violence des coups portés par des drogués à la recherche des fonds qui leur permettront de se rouler dans leur putride perversion ? Non, ce vieillard, nous le plaindrions - nous l’avons plaint, nous le connaissons tous aujourd’hui, Papy Cocard. Et si le gouvernement met en place le cadre sécuritaire qui ne permettra plus à de tels événements de se reproduire, c’est avec douceur, bienveillance, que la société tout entière se doit de s’occuper de ceux qui ont souffert.
Nous devons tous y travailler, c’est notre devoir de chrétiens, c’est notre devoir de bons Français. Et nous pouvons y travailler, car nous les connaissons, ces anciens gens de gauche, parfois intimement. Il n’est que de voir l’émouvant et courageux témoignage de notre confrère John Bigballs, dans son article du 7 octobre 2002, pour réaliser que chaque couche de la société peut contribuer à ramener vers la lumière dispensée par le grand Jean-Pierre Raffarin ces Français encore honteux de leur comportement durant l’occupation soviétique.
Comme l’avait fait le grand-père de notre brave patrie, le Général de Gaulle, il est maintenant nécessaire de pardonner aux victimes de la peur. Les criminels seront punis, mais les agneaux ont le droit de réintégrer la société. Et c’est notre devoir de les aider à rejoindre notre avenir radieux.
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comme dirait bakounine,c qu’une bande de tapette ! pouquoi faire un article la dessus.
gilles
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