Juan Marcos Von Braun, jeudi 24 novembre 2005 - 16:11
Bravepatrie.com, à l’issue d’une réunion extraordinaire de son comité de rédaction, a décidé ce midi à l’unanimité d’adopter la motion suivante visant à réagir aux évènements tragiques qui secouent la vie d’un certain organe de presse rouge-fluo.
Cher confrères du quotidien Libération,
C’est avec effroi et stupeur que nous avons appris, ce matin, que la rédaction de votre journal entrait dans son troisième jour de grève consécutif.
Décider d’entrer en grève n’est pas une chose facile pour quiconque est animé de l’éthique de la profession de journaliste. La grève, comme le meurtre ou le viol des animaux, est un crime intolérable et inexpiable. Il arrive cependant que les circonstances excusent, justifient, voire légitiment cette solution inspirée par le désespoir. Et il est incontestable, au vu de la situation endurée par votre publication, que le recours à une telle extrémité s’imposait parfaitement.
En effet, depuis 1973, un quarteron de « révolutionnaires » issus de la fange soixante-huitarde a pris, à la faveur de manipulations inavouables, le contrôle de l’organe de presse emblématique des années Pompidou, dont le nom était à l’origine inspiré de l’action héroïque du Général de Gaulle (la libération de la France).
Ce putsch inqualifiable a rapidement été suivi par l’apposition d’une véritable chape de plomb sur la politique éditoriale de votre publication. Supprimés, les différents « tuyaux » boursiers qui émaillaient les pages riante de ce journal populaire qu’on appelait alors ’Ration, en référence à l’ordinaire des anciens combattants de la Guerre d’Indochine à l’origine de sa fondation.
Supprimées aussi, les rubriques qui traitaient avec sérieux de la vie dans nos colonies.
Supprimée encore, la tribune libre où s’exprimait si brillamment, chaque jour, Alain Peyrefitte.
Le déclin de ’Ration (devenu entre-temps connu, dans les milieux maoistes, sous le nom de “Libé”) s’est aggravé au gré d’une politique d’embauche opérant de profondes discriminations idéologiques. On se rappelle de l’affaire célèbre du rejet, à 15 reprises, du CV d’Ivan Rioufol par le service ressources humaines du journal, ou du licenciement honteux de Claude Imbert, l’excellent rédacteur des pages culinaires de la publication. Plus près de nous, comment oublier l’odieuse tentative de faire disparaître Florence Aubenas (réputée proche de Christine Boutin) lors d’un banal reportage en Irak ?
Il était temps, en ce jour, que se dressent enfin contre la clique au pouvoir les forces vives de Libération, qui, après ces noires années passées à courber l’échine sous le knout trotskiste de Serge July et de ses comparses, demandent enfin, avec dignité, à l’instar de leurs confrères du Figaro, du Point ou de Bravepatrie.com, le droit de dire la vérité aux français. Le droit d’encourager notre gouvernement dans sa politique innovante et audacieuse. Le droit de combattre de sa plume l’arc-boutage réactionnaire sur des acquis sociaux d’un autre âge. Et surtout, le droit de constater, chaque matin, la vigueur avec laquelle se manifeste notre redressement national.
Pour cette raison, la rédaction de Bravepatrie.com :
1) exprime sa complète solidarité avec celle du quotidien Libération, en lutte héroïque contre l’oppression bolchévique.
2) en appelle officiellement à Messieurs Dassault, Lagardère ou GIAT, ou à tout autre fabricant de mines anti-personnel et gaz de combat, pour prendre sous leur aile de manière durable les équipes talentueuses du quotidien Libération, et faire respecter leur droit, après des décennies de tutelle tyrannique de l’hydre socialo-communiste, à l’expression d’idées saines dans leur publication.
La rédaction.
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