John John Don Parmalatte, vendredi 20 janvier 2006 - 12:15
Après avoir été au chevet des assurés sociaux bravepatriotes, poste depuis lequel il avait, avec succés, éradiqué les fins de mois difficiles chez les médecins généralistes ainsi que chez leurs collègues plus spécialisés, le bon docteur Douste-Blazy est maintenant l’anticorps veillant sur la bonne santé de la planète.
Lors d’une récente rencontre avec son homologue russe, et après avoir réglé les questions de première importance comme les transactions gazières, la santé des cygnes du lac, les tarifs d’amis pour les cours de kasachok de son valet de pied, la traduction depuis le russe vers le francais du manuel de pilotage de l’helicoptère de combat aimablement prêté à titre gracieux pour son usage personnel, Philippe Douste-Blazy, sous la pression d’impertinents journalistes s’est vu contraint d’aborder le thème du cancer tchétchène.
Douste en Russie : " Cher Vladimir, votre DisneyLand Moscou est presque aussi impressionant que celui de Marne-la-vallée"
Répondant à une tentative d’agression de la part d’un virus non identifié qui l’assaillait à propos du silence de la diplomatie bravepatriote au sujet de cette terrible maladie qui frappent nos frères slaves, notre Ministre des Affaires Qui Lui Sont Totalement Etrangères, a revêtu sa tenue de globule blanc pour répliquer bravement :
« Il faut se garder de faire des leçons de morale faciles »
D’autres que lui ont commis ce péché d’orgueil, l’exemple de G.W Bush dit « le bien élu », qui, pressé par des invertis pacifistes californiens sous l’emprise du LSD, est allé jusqu’à parler à notre ami Vladimir de démocratie et de droit des ONG !
De même, cédant à la nostalgie d’un éphémère empire européen et à la rancune née de la défaite de Stalingrad, les allemands droit-de-l’hommistes n’ont pas hésité une seconde à critiquer notre ami Poutine. Allant jusqu’à utiliser des termes aussi forts que « guerre » pour qualifier une simple opération de maintien de l’ordre, la chancelière Merkel risque fort de pénaliser l’Union Européenne toute entière.
Fort heureusement pour le cours de l’action GDF, le bon docteur Douste-Blazy a pu assurer à la Russie le soutien indéfectible de la France. En proposant l’envoi de brigades de CRS, fraichement formés sur le terrain dans les banlieues parisiennes, il a su démontrer une fois de plus sa profonde connaissance des rouages alambiqués de la géopolitique planétaire.
« Des gars qui ont su, en moins d’un mois, régler une inflammation aigüe de banlieues, conséquence d’une polygamite mal soignée, [sauront régler] une opération aussi bénine que l’ablation de la Tchétchénie » - a confirmé notre Ministre de l’Approvisionement en Combustibles Fossiles.
Cette approche est de plus soutenu à l’artillerie lourde et à l’uranium allégé par le président Chirac qui exposait récemment sa nouvelle politique atomique. Réagissant avec une promptitude stupéfiante qui fera taire les détracteurs de son grand âge, il proposait le 19 janvier 2006, à peine seize ans après la fin de la guerre froide, une modification radicale de la stratégie de dissuasion nucléaire française. « La menace d’une destruction de villes entières, voire de la quasi-vitrification d’un pays, est maintenant écartée »- assure M. Chirac. La nouvelle doctrine vise à « la garantie de nos approvisionnements stratégiques et la défense de pays alliés ». Les têtes nucléaires ont été réorientées en ce sens et il n’est pas exclu que l’une d’entre elles, au moins, vise maintenant le siège du puissant syndicat tchétchène de la Géologie et la Métallurgie, fournisseur patenté en cailloux et armes blanches des troublions de la banlieue de Grozny.
Afin de soutenir son Ministre du Bla et du Bla, mais aussi de se faire offrir une croisière sur la mer noire à bord d’un puissant cuirassé militaire, le président Chirac aurait même proposé de prêter aux russes Nicolas Sarkozy et son karcher, à titre gracieux, pour toute la durée du prochain championnat.
Surpris par une employée de France Télécom à la solde de la rédaction de BravePatrie.com, Jacques Chirac, en télécommunication avec le Kremlin, aurait même précisé à Vladimir Poutine : « Ce que vous appelez l’enfer, il appelle ça « chez lui » ». Les négociations de la mi-saison semblent donc bien engagées entre les présidents des deux clubs. Reste à savoir si après avoir brillé en première division en remportant le tonfa d’or 2005, N. Sarkozy acceptera d’aller fouler les chevilles et le code pénal dans un championnat russe beaucoup moins médiatisé.
Informé, l’interessé aurait répliqué : « Il y a là-bas, une certaine liberté d’action qui n’est pas sans me séduire ; toutefois, je ne suis pas Alain Juppé, ma conscience m’oblige à rester au service de la Brave Patrie ». Une réaction qui prouve une fois de plus la grandeur morale du successeur de Jacques Chirac.
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