Politique

Delanoë prive les enfants de neige.

La rédaction, dimanche 12 janvier 2003 - 14:30 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

Vous êtes nombreux à avoir remarqué que la neige avait étendu son blanc manteau d’hermine sur notre Brave Patrie. Partout en France, des enfants participent au concours du plus beau Jean-Pierre Raffarin de neige sous la surveillance émue de leurs grands-mères.
Partout... sauf à Paris.
En effet, le chef de la Commune Soixante-huitarde de Paris et sa clique de khmers verts revanchards ont interdit à nos chéres têtes blondes l’accès aux squares de la capitale.
Nous ne sommes pas daltoniens : s ’en prendre aux enfants en ne leur laissant que la rue comme alternative, voilà des procédés que n’aurait pas renié Pol-Pot lui-même.

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Réactions à Delanoë prive les enfants de neige.

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Déjà 7 réactions.

  • 26 septembre 2003 16:19, par un patriote anonyme

    > Delanoë prive les enfants de neige.

    Les canniballes de droite les privent d’éducation.
    Vous n’avez riend’autre à foutre bande de sous merde.

    Répondre

  • 19 janvier 2003 15:44, par xan ansalas

    > Delanoë prive les enfants de neige.

    j’ai entendu dire que comme il n’avait neigé que sur les beaux quartiers, les sauvageons des bas quartiers faisaient des Raffarins de boue, alors là on comprend que, par solidarité républicaine, Le Père Delanoël ait fait charger ses rennes sur les trublions afin de les disperser.... Certains seraint encore réfugiès à cette heure dans mon hall d’immeuble...
    Au secours Sarko !!!!!

    Répondre

  • 16 janvier 2003 11:01, par Perf

    >Votre second degré me laisse froid

    Décidément parfois votre site me laisse perplexe.
    Sous le second degré, je vois parfois poindre comme un premier degré qui "pue". Les commentaires ci-dessus me font froid dans le dos.
    Je reste perplexe sur votre démarche générale.
    Sous la petite blague pointent des idées politique que Jean-marie ne renierait pas

    Répondre

    • 16 janvier 2003 16:10, par Hubert-Aymeric Pynchon

      C’est de saison

      Cher Monsieur Perf,

      J’ai beaucoup apprécié la finesse et l’à-propos du titre de votre texte. Si, si...

      Le ton du texte, en revanche... moins. Je vous ai senti timide, hésitant, et plutôt que de laisser parler votre coeur, vous avez préféré faire le museau.

      Vous avez froid. Soit. C’est un sentiment que 60 millions de français partagent et qui est, somme tout, assez naturel en cette saison.

      Je vous ferais tout de même remarquer qu’après les frimas que nous avons enduré ces derniers jours, le second degré aurait du sonner comme le signe avant-coureur du dégel de notre Brave Patrie.

      (La tentation était grande de prendre l’exemple du vaillant perce-neige qui rompt le permafrost soviétique mais, comme vous avez pu le constater, je me suis abstenu).

      Quoi qu’il en soit, c’est l’identité de ce Jean-Marie auquel vous avez si familièrement fait allusion qui, moi, me laisse perplexe.

      De qui s’agit-il ? Est-ce de Jean-Marie...
      ...Lustiger ? ...Cavada ? ...Bigard ? ...Proslier ?

      Je vous en prie, ne me laissez pas dans l’incertitude.

      Azurément vôtre.

      Répondre

    • 19 janvier 2003 05:32, par Zac von Zup

      > Gagnez donc le troisième degré, l’étage noble

      Monsieur Perf...

      je crois qu’il faut se rendre à l’évidence : la puanteur fétide qui envahit le premier degré n’a pas d’autres sources sans doute que la malveillance avec une certaine frange de la France d’en bas pratique sa profession, pourtant parfaitement honorable au demeurant, je veux parler de la profession d’éboueur.

      Or il est évident que les intermittents de l’ordure, ces pelés, ces galeux qui, agrippés au cul de la benne à ordure, se prennent à rêver d’horizons différents, développent souvent un très mauvais esprit, dont souffre bien entendu une conscience professionnelle dont ils n’ont que de vagues notions (leur pays d’origine les aurait-ils mal préparé aux taches importantes qu’avec humanité, notre Brave Patrie s’échine à leur procurer ?).

      Le résultat ne se fait pas attendre : il n’est que de voir la saleté repoussante qui règne si souvent dans nos rues, alors que le travail de ces renégats du déchet, s’il était accompli avec l’engagement essentiel requis, permettrait de résorber vraiment le problème envahissant de l’ordure urbaine. Mais allez donc demander reconnaissance à ces gens-là ! Ils mordraient la main qui les nourrit, je le crains. Voici d’où vient la puanteur que vous dénoncez.

      Seul réconfort passager, grâce aux températures hivernales : le gel aurait tendance à réduire le pourrissement, et ce serait bien le premier avantage constaté d’un vent crypto-sibérien qui ne manque pas de nous faire… froid dans le dos.

      Veuillez recevoir mes salutations extrêmes.

      Zac von Zup

      Répondre

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Les canniballes de droite les privent d’éducation. Vous n’avez riend’autre à foutre bande de sous merde.

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