Monde

Le Mussolini des Andes collectivise autoritairement le bien de nos petits actionnaires

La rédaction, mardi 2 mai 2006 - 15:04 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

Dur réveil pour les fiers ingénieurs de Total, ExxonMobil et autres nobles petits créateurs de richesses partis risquer leurs vies sous les agressives latitudes boliviennes pour apporter les bienfaits de la civilisation aux peuplades arriérées de la cordillière des Andes. A l’issue d’un sommet entre dictateurs sanguinaires et nationalistes ce week-end à La Havane, Evo Morales décide d’envahir militairement les champs d’hydrocarbures mis en valeurs par nos pionniers.

« Nous demandons aux forces armées, ainsi qu’à des bataillons d’ingénieurs, d’occuper dès maintenant tous les gisements »

Jusqu’alors raisonnable, le narco-syndicaliste Morales a cédé à la pression de ses voisins expansionnistes. Sa traitrise est d’autant plus fourbe qu’elle intervient à un moment où nos services de renseignements ainsi que le sommet de notre exécutif et de nos forces armées sont englués dans un merdier sans nom paralysés par une vaste entreprise de déstabilisation médiatico-terroriste.

Temporairement privé de notre irrésistible puissance de frappe internationale, nous ne pouvons qu’assiter impuissants à l’aliénation des biens de nos petits porteurs ayant eu le courage d’investir dans le bien-être de ces métèques bien peu reconnaissants.

Afin d’encourager à l’action nos cousins et amis nord-américains un peu pleutres qui hésiteraient à s’engager dans une aventure militaire visant à rétablir la propriété privée et le cours de l’action ExxonMobil, l’état-major français tient à la disposition de l’armée US les listings de noms et minutes de l’opération Mousquetaires.

Car il est temps d’arrêter la progression de l’hydre collectiviste en Amérique du Sud, car messieurs Chavez et Castro disposeraient avec le gaz bolivien d’une nouvelle source de financement du terrorisme international, car il en va de la notion fondamentale du droit des peuples à decider de leur propre avenir, Monsieur Rumsfeld, Agissez !

Diffusez les vraies valeurs ! Partagez cette dépêche !

Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

Réactions à Le Mussolini des Andes collectivise autoritairement le bien de nos petits actionnaires

Les vrais Patriotes pratiquent la réaction dans la joie et la bonne humeur depuis 2002. Réagissez aussi !

Déjà 19 réactions.

  • 24 juillet 2007 17:34, par un patriote anonyme

    METEQUES ?

    c’est vous qui etes des meteques.
    la plus pure race est la race basque, tous de noblesse acquise
    a la naissance, d’ailleurs surement divisée sur l’interprétation des faits pourlesquels vous vous scandalisez.
    c’est fini le temps des républiques bananières.
    Petit clin d’oeuil au passage...SALVADOR ALLENDE S’EST FAIT DESSOUDER UN 11 SEPTEMNBRE ET COMME PAR HASARD C’EST LE MEME JOUR QU’uN ATTENTAT A EU LIEUX CONTRE L’UN DES SYMBOLE DES ETATS UNIS.
    ......il y a une justice peut etre.......
    XAO* MAKETO

    Répondre

  • 27 juillet 2006 18:55, par injusthemis

    Le Mussolini des Andes REPONSE

    Oh lala les petits porteurs qui vont se retrouver au RMI
    Non mais tu nous prends pour Qui ??Avec la poudre sans laquelle aucune election ne se passe en france le petrole est avec les armes le moteur financier de l’ humanite Ce chef d’ etat a fait ce que l’ on devrait faire en france nationaliser ou surveiller de tres pres les profits petroliers par le canal des BIC (benefices industriels et commerciaux) vu le degre de corruption qui regne en france entre les enarques et les dirigeants des grandes firmes petrolieres autant confier une tranche de jambon a un chat.Le drame c’ est que dans ce pays cette manne petroliere profitera comme d’ habitude aux petentats au pouvoir qui pourront commander a l’ oncle sam de nouveaux Lear Jet pour aller voir leurs putes a monaco , zermatt ,marbella ou ailleurs.
    Tant que les religions et l’ anaphalbetisme regneront en maitre a la surface du globe les meilleurs decisions politiques ne seront qu’ un emplatre qur une jambe de bois
    injusthemis hotmail.com

    Répondre

  • 4 mai 2006 15:21, par brigittemacreuse

    On nous pique tout

    Je me souviens de ce slogan de 73 : "Quand on a pas de pétrole, on a des idées"
    Et bien je vois que nul n’est prophète en son pays. Monsieur Morales qui n’avait pas de pétrole lui appartenant a eu l’idée de se l’appropier.
    Combien de temps faudra-t-il attendre avant qu’on nationalise Elf ?

    Répondre

  • 4 mai 2006 15:04, par Silvio Musso les Nids

    Chanson pour Morales

    Heureusement, tous les Morales ne sont pas aussi dégénérés !

    CHANSON POUR MORALES

    A toi,

    A toi, mon frère

    Que j’ai aimé comme un pére

    Compagnon d’arme,

    Mort sur la route du devoir

    Te voila maintenant rendu

    Au pays des disparus

    Mort pour l’honneur des trois couleurs

    Toi qui l’auras trop bien aimé

    Et parfois meme abusé

    Te voila donc dans la bierre

    Dors, soldat Moralès !

    Dors, dedans ta caisse !

    Car, par delà de ta mort,

    Et de ses vers qui te picorent

    Dans mon esprit, tu brilles encore.

    Enfant de Marie, tout en guenilles,

    De la nation, tu fus le pupille,

    Bébé martyr et violé

    Tu devins vite alcolisé.

    Tu étais simple dans ta tête,

    Tu étais simple dans tes gestes,

    La société t’a rejeté,

    Et c’est l’armée qui t’a aimé !

    Sur des paroles de par moi-même,

    Et une musique de l’adjudant-chef Jean-Pierre

    317éme bataillon du 4éme RIMA :

    "Chanson pour Moralès,

    Compagnon de combat !"

    Dans la campagne de France

    J’avais t’un compagnon ...

    Que j’aimais,

    Il était mon ami, mon frère,

    Comme une sour dans mon corps ...

    Je l’aimais

    Mort dans la rizière, la gadoue ...e

    Déchiqueté ...ée, pulvérisé..ée

    Sur cette mine tu as sauté, tête brûlée

    Moralès, Moralès,

    Disparu au champ d’honneur

    Pour sauver les trois couleurs

    Moralès, Moralès,

    Toi qui voulais voyager

    Te voilà z’éparpillé !

    Je t’ai pleuré, mon camarade,

    Versé des la..armes

    Loin des fe..emmes

    Rien ne te remplaçeront

    Ni la bière, ni ma mère,

    Ni mon arme, ni les dames

    La femme est l’avenir des po...ommes

    Comme dit Aragon, roi des cons !

    Moralès, Moralès,

    Disparu au champ d’honneur

    Pour sauver les trois couleurs

    Moralès, Moralès,

    Toi qui as pris le pari

    De partir en confettis !

    Et je te jure sur ta tombe

    Qu’un jour un monde

    Où la pureté,

    Triompheront,

    Car l’ennemi règne ici-bas,

    Méchanceté...ée, brutalité...ée

    Et les dealers, et les chômeurs,

    Les communistes, psychanalystes

    Tous des pédés, dégénérés ....

    Autant pour moi !

    Moralès, Moralès,

    Disparu au champ d’honneur

    Pour sauver les trois couleurs

    Moralès, Moralès,

    Toi qui voulais battre des records

    A vingt ans, déjà t’es mort !

    Répondre

  • 4 mai 2006 14:56, par Silvio Musso les Nids

    Morales et Moralité

    Alors là, moi je dis : stop !

    Depuis que les pays sud-américains ont mis fin à leur politique d’immigration choisie de la fin des années 40 et du début des années 50, tout part en sucette. Cette politique avait permis d’attirer de compétents techniciens en électricité et en chirurgie sans anesthésie (n’est-ce pas, M. Von Braun ?), permettant à ces pays d’atteindre leur âge d’or aux cours des décennies suivantes (franchement, le monde n’était-il pas admiratif devant le miracle économique chilien des années 73-80, hmm ?).

    Mais une politique de l’immigration laxiste, d’inspiration socialo-marxiste, a entraîné des flux d’immigrants subis. Maintenant, ces métèques sont à la tête de l’Amérique du Sud : Morales, Lula, Chavez, Kirchner,... Rien ne va plus.

    Donc, soutenons le projet de loi Sarkozy pour une immigration choisie !!

    Répondre

  • 3 mai 2006 18:34, par Pierrot le fachot nantais

    Alors, on ne peut plus exploiter tranquille ?

    Salauds de pauvres, qui veulent devenir riches ! On leur a piqué leur cuivre à Potosi, et regardez comment ls nous remercient !


    POTOSI

    Potosi, un monstre qui a saigné les Andes pendant trois siècles. Une gueule béante qui avalait des hommes et vomissait des cadavres. Une machine à broyer les corps et les âmes. Tant, et si vite qu’il fallut bientôt envoyer la troupe chercher des esclaves de plus en plus loin. Jusqu’au-delà de Cuzco. En trois siècles, Potosi recracha trois millions de cadavres.
    Ils arrivaient, hébétés, épuisés. On les avait arrachés à leur terre, à leurs champs, à leurs villages. A coup de fouets, encadrés par des soldats en armes, on leur avait fait passer des journées entières à marcher et marcher encore, les femmes et les enfants suivaient comme ils le pouvaient.
    Au bout de la longue route, il y avait cette ville de maisons splendides, d’églises où l’or n’était que massif. Les seigneurs des mines donnaient des fêtes plus somptueuses que celles des rois d’Europe.
    Mais les Indiens, eux, on les jetait dans des baraques sordides et glacées, les hommes descendaient sous terre. Il régnait là une chaleur suffocante. Au pic, ils arrachaient du rocher la pierre mélangée d’argent qu’ils ramenaient sur leur dos afin qu’on l’emmène. Leurs mains saignaient, et leur cœur aussi. Ils étaient fils du soleil, fils de la terre, on les transformait en vers.
    Ironie, leurs tortionnaires leur octroyaient quelques pièces de monnaie pour leurs services. Pièces qu’ils échangeaient contre des feuilles de coca. La coca que l’on mâche afin de retrouver des forces quand on est trop épuisé pour porter sa pioche. La coca qui donne à celui qui va mourir l’illusion qu’il vivra encore. La coca qui enrichit les curés parce qu’ils touchent un pourcentage sur les paniers que les Blancs enfournent dans la mine. Avec la coca, mon cher Père, les Indiens meurent peut-être un peu plus vite, mais ils travaillent tellement mieux. Amen.
    Quand leur homme s’est éteint de désespoir, écrasé par la pierre qui s’effondre, brisé par la chute du haut d’une échelle, lacéré par les fouets, les poumons silicosés ou tout simplement de misère, les femmes rassemblent leurs enfants, à pied, elles reprennent le chemin de leur village. A Potosi, les élégantes en robe de Paris dansent sur leurs parquets précieux. Pour leur adresser la parole, les domestiques indiens se mettent à genoux.

    (...)

    A Potosi, nul ne peut aller pieds nus, nul ne peut vivre sans maison, il y fait si froid que le vagabond y meurt, crucifié par le gel sous le ciel le plus pur, le plus étoilé du monde.
    Et pourtant, je ne sens pas le froid en arpentant le Boulevard au milieu de ces gens qui me bousculent. Je perçois une ambiance unique, une sorte de tension dans les âmes comme un chant qui monte : on est ceux de Potosi ! On a résisté aux Espagnols ! Ils nous ont torturés, déportés, massacrés, mais on est ceux de Potosi. Nous mourons aujourd’hui de silicose, les poumons rongés par la poussière des mines. Nos femmes arrivent à peine à alimenter leurs enfants, on est ceux de Potosi. Les galeries des mines s’effondrent, on nous paie une misère, on expulse nos veuves des logements que la mine nous fournit, mais on est ceux de Potosi. On mâche la coca comme nos aïeux, on boit de l’alcool qui nous ronge, pour tenir, pour oublier. Mais on est ceux de Potosi. Les soldats nous tirent dessus quand on fait la grève, ils torturent nos meneurs, ils ont dressé les paysans contre nous ; quand nous nous battons, nous sommes seuls, tant pis, on est ceux de Potosi.

    Anne-France DAUTHEVILLE (vers les années 70)

    Répondre

    • 3 mai 2006 19:40, par john john don parmalatte

      Alors, on ne peut plus exploiter tranquille ?

      Cher Pierrot,
      vous vous fourvoyez, c’est de l’argent qui sort des mines de Potosi et non du cuivre.

      Mais rassurez vous, depuis la privatisation des mines en 1985, la condition des mineurs s’set grandement améliorée ! L’anarchique organisation étatique qui pêchait par un chaos total en laissant par exemple de jeunes enfants remonter sur leur dos des sacs de minerai depuis les tréfonds de la mine à fait place a un modèle d’efficacité moderne : les enfants sont maintenant employés au fin fonds des galeries les plus étroites où les adultes ne peuvent accéder ! C’est tout bête mais encore fallait-il y penser !

      Répondre

      • 3 mai 2006 20:38, par Pierrot

        Alors, on ne peut plus exploiter tranquille ?

        Autant pour moi, et je me condamne à donner tout mon argent à des pauvres villepinistes.
        Et merci de me donner cette nouvelle rassurante concernant le progrès dans l’exploitation des enfants : à l’instant où mes petits villepinistes font meilleure mine, ces petits moralistes font dans la mine !

        Répondre

  • Je suis déçu de m’apercevoir que votre site, en qui j’avais la plus grande confiance, s’égare en assimilant un vague métèque rastacouère sud amèricain au Duce qui reste pour nos amis transalpins une référence indépassable !

    Lew Fuck

    Répondre

  • 3 mai 2006 17:30, par degadezo

    Morales

    C’est un scandale, en effet. Et au-delà de l’impact économique, c’est surtout l’identité bolivienne qui est en jeu. Jusqu’à présent, la Bolivie rayonnait au travers de ses cultures intensives de pavot, marijuana, et autres cocaïers, autant dire de superbes plantes à vocation ornementale. Désormais, la Bolivie entend s’approprier le marché des hydrocarbures en nationalisant les ressources naturelles, idée saugrenue s’il en est. Comme si notre brave patrie, mondialement connue pour ses pinards, ses claquos et ses grèves, décidait de se lancer dans la lutte contre le chômage ! on aurait tout vu, non ? Moi, je dis à chacun ses talents, à chacun ses spécialités. Sinon, c’est le bordel et tout fout le camp.

    Répondre

  • oui , il faut vitrifier cette engeance du sud de l’amérique,
    avant que celles ci s’étendent au Canada et de la s’expansionne vers nos contrées Brave Patriote .

    Il n’y a t’il plus d’ogives nucléaire en état ? , Bordel de ....

    excusez moi , mais la douleur m’égare

    Voir en ligne : chez ouam

    Répondre

  • « Temporairement privé de notre irrésistible puissance de frappe internationale, ... »

    Certes, puisque ce pays pousse la fourberie jusqu’à ne même pas avoir d’accès à la mer, difficile de leur envoyer le Clemenceau !

    À moins de le parachuter sur le lac Titicaca, peut-être ?

    Répondre

  • 3 mai 2006 00:29, par Largentula

    On n’a pas d’idée, mais on a du fromage !

    Qu’attend notre gouvernement pour nationaliser la camenbert et le roquefort et en limiter l’exportation ? le chantage, il n’y a que ça !
    Un camenbert contre un barile !

    Voir en ligne : le site de la pauvreté interieure

    Répondre

  • http://fr.biz.yahoo.com/02052006/20...

    Premières victimes de la traîtrise du narcotraficant rouge Morales, les honnêtes entrepreneurs de la mère patrie espagnole vont devoir payer leur essence à la pompe !!!

    Même le ministre de l’industrie socialo-blairiste est attéré par la decision du Mussolini des Andes. Il menace de mettre fin au exportation de paela lyophilisé.

    La CIA est aussi sur les rangs, l’opération "restaure del pillaje del Pepitos"

    Hasta siempre, la liberalisacion

    Répondre

Envoyer cette page :

Vous pensez qu'un sympathisant de l'UMP peut être intéressé par cette page ? Faites-la lui découvrir !

Dernière réaction

c’est vous qui etes des meteques. la plus pure race est la race basque, tous de noblesse acquise a la naissance, d’ailleurs surement divisée sur (...)

Un patriote anonyme

Retrouvez toutes les réactions des abonnés du Monde.fr lecteurs de Brave Patrie.

Sur le même sujet

Abonnements

Accédez gratuitement à une information impartiale et libérée du joug marxisant des media de masse, où vous le voulez et quand vous le voulez !

RSS Twitter E-mail

Opéré par FeedBurner

Déjà vu

Il vous semble que l'Histoire bégaie ? C'est bien le cas, et comme prévu c'est une farce :

3 février 2006 : Brave Patrie s’insurge contre les caricatures du Prophète - c’est quoi, son nom, déjà ?

Tweets patriotes

Twitter

Suivez Brave Patrie sur Twitter pour encore plus de bravitude et de patriotisme.