Politique

Nicolas Sarkozy : « J’étais marxiste avant le Pen »

La rédaction, lundi 12 février 2007 - 07:48 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

Le lieu lui-même était un symbole : Nicolas Sarkozy a prononcé hier à la Mutualité, salle parisienne d’ordinaire réservée à des meetings gauchisants, un grand discours d’ouverture qui assoit sur au moins deux bottins sa carrure de présidentiable.
S’adressant à tous les Français, le candidat à la magistrature suprême a raconté, ému, les années passées foulard rouge autour du cou chez les Pionniers de Neuilly-sur-Seine. Après avoir laissé l’émotion submerger le public en racontant sa découverte de l’amour dans les bras de la jeune Gudrun lors d’un échange scolaire avec la ville est-allemande de Cottbus en 1972, M. Sarkozy a été récompensé d’une standing ovation de 7 minutes 30 en réclamant « la dictature du prolétariat, ici et maintenant. »

N’en déplaise à quelques socialistes de sinistre mémoire, la gauche n’a pas le monopole de la captation de l’héritage de gauche, a souligné le ministre de l’Intérieur. « Je ne vois pas en quoi je ne peux pas me revendiquer du Léon Blum de 1920 qui avait su voir les dangers de la dérive staliniste, » a ainsi rappelé le candidat de l’UMP, soucieux de dépasser les clivages et les clichés. « On peut être de droite et reconnaître un certain mérite à Pol Pot ! ».

Dans la droite lignée du combat anti-communautariste de M. Sarkozy, cet appel à toutes les composantes de la France est vu par les analystes comme une main tendue aux électeurs rouges qu’à force de laisser traîner dehors on a vu tourner au brun avec des mouches à merde dessus.
La revendication de la doctrine marxiste par Nicolas Sarkozy devrait ainsi lui permettre d’intéresser une petite frange des électeurs du Front National.

Le ministre de l’Intérieur devrait selon nos sources enrichir son discours universalitaire en évoquant Hermann Goering à Vivement Dimanche ! le week-end prochain.

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Réactions à Nicolas Sarkozy : « J’étais marxiste avant le Pen »

Les vrais Patriotes pratiquent la réaction dans la joie et la bonne humeur depuis 2002. Réagissez aussi !

Déjà 26 réactions.

  • 14 février 2007 16:29, par un patriote anonyme

    Nicolas Sarkozy : « J’étais marxiste avant le Pen »

    comment peut on accepter qu’unvoyou comme jose bove soit meme seulement candidat à la fonction supreme on peut ne pas etre ok avec les o g m ou les magdos sans pour autant mettre le pays a feu et à sang Qu4est devenu la loi casseurs payeurs ? bel exemple pour notre jeunesse que ce faineant qui comme lon dit dans la FRANCE profonde "il n’a jamais cassé le manche d’une fourche" qui plus est heureusement que les vieux etaient nés avant lui ! ! ! ! !

    Répondre

    • Les anciens manient semble-t-il mieux la fourche que la syntaxe. Mais comme tu l’auras toi même remarqué, tout fout le camp, mon bon monsieur, désormais l’on lave son linge sale avec des familles issues de l’immigration, on garde les vaches tous ensemble, y’a plus d’saisons, ah ça non, ah la la la la ma p’tite dame. C’est tout un pan de la France, jusque là déjà bien profonde, qui est menacée de naufrage. De là à dire que je n’en ai absolument rien à foutre, il n’y a qu’un pas.
      "Bel exemple pour notre jeunesse"...Peut être avais tu besoin d’exemple pour être un homme honnête ; c’est sans doute le cas de beaucoup si l’on en juge à la prolifération des "conducteurs de peuples" au cours du XXeme siècle. Les cons, il leur faut effectivement des exemples, tous seuls ils sont perdus. Quant à moi, je ne casse pas de fourches, j’éprouve un mépris cordial pour ceux qui "se tuent à la tâche", et j’emmerde la France Profonde et réactionnaire.
      Bisous

      Répondre

  • 14 février 2007 12:33, par Foxapoildur

    Quand les cathos font la morale

    « électeurs rouges qu’à force de laisser traîner dehors on a vu tourner au brun avec des mouches à merde dessus »

    C’est à ce genre de phrases fielleuses qu’on repère le 3e degré qui se cache derrière ce site (qui rappelons-le est animé par les ex-Jalons, cathos délurés qui ont connus leur heure de gloire dans les années 80)

    Des gogoches pensent que vous faites du second degré, autrement dit, ils pensent que vous êtes de gauche et que vous caricaturez le discours de droite

    Je pense qu’il serait honnête de leur avouer la vérité : vous utilisez la caricature de la droite (qui est tellement énorme qu’elle ne fait aucun mal à la droite) pour enfoncer la gauche que vous détestez cordialement (ne serait-ce que parce qu’elle est athée). Une haine que je comprends bien tant les degôches (tendance Libé) sont devenus puants d’hypocrisie.

    L’effet que vous escomptez est obtenu : le discours de la gauche est ridiculisé (souvent à juste titre d’ailleurs) et la droite est rendue par l’effet du Saint-Esprit sympathique et bon-enfant.

    Concernant cette phrase en particulier (que je trouve ignoble, mais vous semblez suivre à la lettre le discours dominant), il me semble que si une institution s’est bien compromise avec la merde brune c’est bien votre église. Alors votre petite morale fourbe, je la jette direct au bénitier.

    Répondre

    • 14 février 2007 14:28, par GoGoD

      Quand les cathos font la morale

      Encore un attentat à la bonne/belle/droite pensance par un émissaire à peine caché de traître Bayrou ! Et un qui a sûrement fait, au vu de son extraordinaire clairvoyance, Science-Po Béarn qui plus est !A la potence !

      Répondre

    • 14 février 2007 15:19, par Salvador d’Ali-G

      Quand les cathos font la morale

      "Toi-même !"

      Répondre

    • 14 février 2007 15:40, par Maurice Panel

      Quand les cathos font la morale

      Monsieur ou Madame Foxa,

      Vous avez réussi à nous démasquer, vous êtes très fort !

      (Un conseil néanmoins : Surtout n’écoutez pas Radio Brave Patrie, ce serait dommage que vous doutiez à nouveau).

      Amitiés patriotiques.

      Répondre

      • 15 février 2007 01:14, par L’inconnu

        Mais ?! C’est quoi Jalon ?

        Mr Panel, dites nous tout : c’est quoi cette histoire de Jalon ??

        J’étais persuadé que vous étiez de Méta-Droite, mais maintenant je doute.

        Et c’est mal de Douter...

        Répondre

    • 14 février 2007 15:53, par Silvio Musso les Nids

      Quand les cathos font la morale, c’est normal

      La gauche, la droite, on s’en fout, nous, on est trop forts, on est ambidextres !

      Répondre

    • 17 février 2007 01:05, par Et ta soeur ?

      Quand les blaireaux font la morale

      Nom de dieu, mais qui c’est ce blaireau ? On pense encore ce qu’on veut, Ducon, et on a pas besoin de ta science pour ça. Et les balances, les commissaires politiques, les indics, les mecs qui se croient plus malins que les autres et (en général) les cons, on aime pas trop, par ici. Alors, du balai, le révisionniste, et si les sites cathos te font chier, va voir ailleurs : y’a plein de sites sympa sur le web pour les défenseurs des électeurs rouges qui tournent au brun avec des mouches à merde dessus.
      Amen.

      Répondre

      • 17 février 2007 22:55, par Le Vieux Duc de Millau

        Quand les blaireaux font la morale

        Dites donc vous !

        Evitez d’être aussi grossier sur un site qui défend des valeurs vraies !

        Vos propos ne font que dévaloriser les idées saines qui se propagent ici.

        Bien à vous,

        Répondre

  • 13 février 2007 20:18, par Lady Marwina

    Et pour le prochin ?

    Il parrairait, selon des sources officieuses, que Nicolas Sarkozy se prépare à nous tirer une fois de plus les larmes aux yeux, toujours en paraphrasant au grès la célèbre devise de bon sens de l’Allemagne des années 43-45 "Arbeit macht frei" par son sublime "le travail c’est la liberté", mais pour l’illustrer cette fois il ne citera ni Blum ni Jaurès, mais bien Bakounine et Ché Guévara.

    A ceux que le mélange des genres déranges, nous répondons qu’il n’y a que les sots qui ne changent jamais d’avis, y compris dans la même phrase.

    Vive Nicolas Sarkozy, et vive la France.

    Patrio-tique-ment vôôtre,

    Lady Marwina

    Répondre

  • 12 février 2007 20:50, par Nique aux lascars rosis

    Erratum

    Corriger pour lire « une petite fange des électeurs du Front National »

    Répondre

  • 12 février 2007 19:17, par Jojo

    On ne peut plus compter sur personne !

    Vraiment, NS marxiste.

    Voilà, on nous l’avait bien dit, les communistes s’infiltrent partout. Maintenant, j’ai peur, qui va nous défendre.

    Les communistes vont venir me voler mon frigo et ma télé. Au secours !

    Répondre

  • 12 février 2007 16:18, par D’ici et Là

    On dit National-Bolchevique !

    D’ailleurs, je viens d’apprendre que Nicolas Sarkozy vient de se débarraser de sa pouffe et de rejoindre un homme, un vrai, un qui sent la graisse à kalachnikov, à savoir Edward Limonov, afin de sceller sur de bonne base l’amitié Franco-Slave !

    Parce qu’il y a pas de raison : on peut être Rouge et Facho, être invité par Le Pen à une fete Bleue, Blanc, Rouge, tirer à la mitrailleuse lourde sur Sarajevo, avoir été vidé d’URSS pour dissidence et revenir à Moscou pour rétablir l’Ordre Rouge, tout en étant pédé comme un phoque !

    Edward Limonov et le petit Nicolas, c’est le couple de l’élection et je trouve que ça a de la Gueule : Nicolas en talonnette personnalisée Prada, juste à la bonne taille pour atteindre le Bouton Rouge(TM) ; et Edward pour la récolte des pièces jaunes, le Dragunov turgescent à la main !

    Le pied !

    Avec Edward dans son couple, Nicolas va ratisser large, c’est sur !

    Par contre faut faire gaffe à garder ses pièces de 1 à 5 cents d’euros, Edward a tendance à avoir la gachette hypersensible...

    Répondre

  • 12 février 2007 15:29, par enzo d’aviolo

    Nicolas Sarkozy : « J’étais marxiste avant le Pen »

    Non c’est pas vrai, il l’a pas dit ça la référence à pol pot !
    tu peux me le confirmer avec une source !?

    Barjot ce type !

    Voir en ligne : http://www.etiennefillol.org/blog

    Répondre

  • 12 février 2007 15:11, par Maréchal Touchàtéskis

    Nicolas Sarkozy : un agent jospinien au sein des komsomols neuilléennes

    Bande de crapules baveuses socialtraitrâsses sud-coréennes,

    On ne dit pas pionniers, mais komsomols car nous sommes tout de même dans la patrie du Sre Gl Georges Marchais qui de son abri de Marne-la-Coquette (il a dû déménager à cause de la pression immobilière mossado-CIA-crédit-agricolesque qui sévit dans les banlieues rouge afin de chasser et disperser la masse immense des militants communistes) dirige la contre offensive au Grand Capital (tm) avec force T-35 (c) et maint Makarov (r).

    Quant à Sarkozy, nul trace en lui d’un génie marxiste véritable comme notre bon Kim Jong Il, mais la fourberie pas franche du collier d’un entriste mexicano-pioletesque aux accents franchement trotskystes.

    Je vous souhaite un long exil sibérien et n’oubliez pas de briser la glace avant de vous laver, valets gauchisants, fans de Michel Sardou.

    Gros poutous à l’amicale des anciens des camps de rééducation nord-vietnamien section aide aux devoirs et pions

    Répondre

  • Nicolas Marxsosy
    Je le savais
    Je suis émue
    MERKI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Voir en ligne : http://2Osix.fr/paleblueyes

    Répondre

  • 12 février 2007 10:28, par un patriote anonyme

    Nicolas Sarkozy : « J’étais marxiste avant le Pen »

    Et vive le partie unique, vive Staline ! Pour de vrai, U.M.P. ça veut dire Union Marxiste Prolétaire.

    Répondre

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