Maurice Panel, lundi 30 septembre 2002 - 14:28
Le travail :
Comment retrouver cette valeur après tant d’années ?
Comment effacer ces décennies durant lesquelles l’essence fondamentale de toute civilisation (judéo chrétienne bien entendu) a été assommée, piétinée, violée ; pour finir, sans âme et sans conscience, dans la bouche de quelques députés socialistes arrogants et dominateurs, messies des 35 heures et des intermittents du spectacle ?
Voilà un défi et voici un nouveau gouvernement.
Du vigneron fourbu après une journée aux vendanges au patron exténué après une journée de golf, elle est là, la France, celle qui a su se construire sur une armée forte et sur un labeur constant.
Après avoir reconstruit l’Armée le valeureux gouvernement de Mr Raffarin doit se pencher sur la première des valeurs : le travail.
Comme aime à le répéter notre Premier Ministre : "Le sommet est lointain mais les coyotes ruminent".
Depuis 20 ans la France ne travaille plus : Impôts, taxes, humiliation, avilissement : le travail libre à été rendu illégal dans notre pays.
Seule forme d’emploi possible pour quelqu’un cherchant à fonder un foyer : le fonctionnariat, l’avilissement communiste ; pour dire les choses comme elles sont : se faire embaucher dans la mafia d’état.
Mais ces temps sont révolus et la libre entreprise peut enfin sortir de la clandestinité, l’esprit de la libre entreprise peut enfin renaître au grand jour.
Telle une mine oubliée larguée par navire allemand peu avant la déroute de 40, les socialistes laissent une bombe, dormante et sournoise : les retraites.
Arracher les travailleurs à leurs machines, expulser les salariés de leurs bureaux, menacer les hommes de maison, traumatiser les vendeuses face aux clients : voilà les effets provoqués par les retraites.
Impossible de le nier.
Même Bernard Lavilliers (habitué à loger dans les colonnes "trouble à la sérénité nationale") a écrit dans son dernier album : "Je voudrais travailler encore, travailler encore…" (Bernard Lavilliers "Les Mains d’Or", rappel : détenir ce support est puni par la loi de 5 a 10 ans de prison). Une preuve de plus s’il en était besoin...
Tous les économistes s’accordent à dire que s’acharner à vouloir maintenir les retraites c’est empêcher l’instauration d’une croissance durable.
De plus, c’est retirer des forces vives à la nation en cas de conflit (imminent avec l’Allemagne).
Le renouveau de la France n’a pas besoin de paroles démagogiques mais d’actes et il est certain que le ministre du Travail réfléchit déjà à la suppression de cette aberration économique que sont les retraites.
Travailler c’est faire partie d’une nation, une offre faite à la famille et une donation à Dieu. Arrêter de travailler c’est fixer sur soi la honte et le pêché. Nos anciens n’arrêtaient pas de travailler et la qualité de vie dans l’ancien temps était bien meilleure...
Nous devons vivre par et pour le travail et dans cet ordre : d’abord la terre, ensuite l’acier et pour finir les paroles.
La retraite : une idée sans avenir, une idée de fainéant, une idée de gauchiste.
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