Justice

Des prisonniers politiques Bretons découvert dans les cachots Staliniens !

John Bigballs, mardi 22 octobre 2002 - 15:08 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

C’est avec une grande affliction et une haute consternation que le gouvernement Raffarin à découvert à la suite d’un audit que les cachots Maoïstes dont il a hérité contenaient des prisonniers politiques détenus depuis près de trois années ! Devant ce scandaleux état de fait, résultant directement de notre proche passé Stalinien, notre tout nouveau gouvernement démocratique a préféré jouer la transparence pour ne pas replonger notre Bravepatrie dans ses vieux démons.

En effet, cet audit a révélé l’insoupçonnable, à savoir qu’à travers la terminologie de terrorisme, le triumvirat Jospin-Hue-Voiney (aujourd’hui heureusement déchu) n’a pas hésité a embastiller à tour de bras ! Conscient de la gravité de ces révélations, notre gouvernement se retrouve encore à devoir régler un épineux problème hérité de la gestion désastreuses de notre bel hexagone par le régime Communiste. Coincé entre l’impératif de ne pas contrarier tout un édifice juridico-policier qui, après tout, n’a fait qu’exécuter les ordres de sa hiérarchie de l’époque, et celui ne pas se mettre encore une fois la cour européenne des droits de l’homme sur le dos, une décision claire s’imposait !

« Mais que va t-on faire de ces gens ? Certes, ce ne sont qu’une poignée de Bretons dissidents et gauchistes, mais je puis témoigner que ce n’en sont pas moins des êtres humains » s’est exclamé M. Perben, notre Ministre de la Justice et des Sceaux. Après avoir longuement étudié toute solution s’offrant a eux, et longuement envisagé l’idée émise par Alain Juppé, éminence grise de l’UMP, qui se résumait par cette brillante formule : « On n’a qu’à les buter » !, les députés ont finalement préféré une voie moins définitive. En effet, si l’idée de M. Juppé avait le net avantage de résoudre toute l’affaire, elle restait néanmoins difficile à appliquer légalement (même si un récent sondage à mis en évidence que 82 % des bravepatriens étaient favorables à des solutions expéditives, ne coûtant pas cher, et ne nécessitant pas le besoin d’être enregistrées par la mémoire, ni même d’être analysées par un réseau neuronique).

C’est donc en s’orientant vers le compromis et en tentant de faire rimer Démocratie avec Police-Justice que notre gouvernement a privilégié la formule « laissons les pourrir sur place sans faire trop de vagues ». Cette dernière proposition ayant été finalement retenue sur proposition de Monsieur Alain Marsaud, créateur de la section antiterroriste du parquet de Paris en 1986 et maintenant reconverti en député UMP de la Haute-Vienne, un amendement à été voté par la nouvelle assemblée nationale réunie en session extraordinaire dans le cadre de la nouvelle loi sur la Justice de Dominique Perben.

Cet amendement a pu passer inaperçu dans l’ensemble des articles sévères, mais justes, de ce texte, vu la faible partie de la population pénale qu’il concerne, mais en définitive cet amendement augmente d’un an la durée de la détention provisoire admise pour un détenu dans le cadre d’une affaire de terrorisme.

A quoi ça sert ?

La durée de la détention provisoire admise passant de deux ans à trois ans, la détention des 7 terroristes bretons détenus sur intuitions policières depuis presque 3 années ne serait donc plus scandaleuse, puisque légale, et pourrait les amener à comparaître à un futur procès en correctionnelle, donc à être condamnés plus lourdement puisqu’il faudra que leur condamnation couvre au moins la longueur de la détention provisoire.

C’est ainsi qu’à partir d’une situation plutôt embarrassante, l’on met en place de véritables outils démocratiques que la Justice bravepatrienne pourra bientôt mettre à la disposition de tous les Bravepatriens. Le gouvernement Raffarin réussit donc une fois de plus à maintenir la dignité et les vraies valeurs de notre bravepatrie, alors même qu’elles auraient pu ressortir quelques peu entachées par la libération au bout de 3 ans d’emprisonnement de personnes n’ayant eu en tout et pour tout qu’à s’être vues reprocher d’être accusées de terrorisme, ce qui, certes, est un mot qui fait peur mais qui perd toute son horreur au regard des pièces à charge contre les 7 détenus.

Enfin, par cet acte politique, notre gouvernement rassure nos braves policiers, quelques peu désabusés dans leur travail par les récentes libérations de M. Papon et M. Crozemarie, sur le fait qu’on ne les prends pas que pour des pithécanthropes régulateurs des tensions citoyennes à grand coup de matraque et que l’on sait, parfois aussi, apprécier leur travail.

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