John Bigballs, dimanche 10 décembre 2006 - 08:00
En ces heures tragiques où, dans nos campagnes, dans nos villes, sur nos plages se déroulent des combats d’une intensité inouïe afin que l’UMP parvienne à faire triompher l’intelligence en remportant une bataille qui s’annonce difficile, les considérations de Pascal Sevran, visant à élucider le mystère de la famine en Afrique, ruinent dramatiquement tous nos espoirs de victoire.
Bien évidemment, comme cela fut le cas pour les 100 jours de bataille contre le chômage, Bravepatrie.com a jeté toute sa fougue et ses forces dans cette nouvelle aventure guerrière. Bien conscient du fait que tous les coups bas sont permis et qu’ils pleuvent plus que d’habitude en ces temps de guerre, notre camp continuera toutefois de s’en étonner car nous ne sommes pas de ce bois-là ! Mais, tout de même, il faut bien se rendre à l’évidence : à la vue de propos tenus par Pascal Sevran dans différents organes de presse, c’est officiel, il y a une taupe (en fait, probablement des légions entières) du camp ennemi de l’intelligence qui s’est glissée dans le jardin de l’UMP à la faveur d’un soutien feint et félon à la candidature de Nicolas Sarkozy. Si ce n’est ça, tout du moins l’UMP se traîne t-elle un bon gros boulet qui nous pénalise dans notre croisade pour l’intelligence mondiale et nous décrédibilise dans notre combat quotidien.
Ces propos, trop rapidement assimilés à seulement du racisme par les médias des 6 coins de notre hexagone, sont en fait l’illustration du souffle fétide de notre ennemi numéro 1 dans cette bataille : la bêtise crasse et rampante qui au stade terminal métastase les cellules grises des cervelles en laissant derrière elle une bouillie moisie impropre à l’obtention du certificat d’études.
Que l’on juge sur pièce :
« La bite des noirs est responsable de la famine en Afrique [...] Et alors ? C’est la vérité ! L’Afrique crève de tous les enfants qui y naissent sans que leurs parents aient les moyens de les nourrir. Je ne suis pas le seul à le dire. Il faudrait stériliser la moitié de la planète ! [...] Je n’ai pas de comptes à rendre, ni à vous ni à personne. Je dis ce que je veux et j’écris ce que je veux ! Me considérer comme un néo-nazi est une belle connerie [...] Les coupables sont facilement identifiables, ils signent leurs crimes en copulant à tout-va [...], ils peuvent continuer parce que ça les amuse, personne n’osera leur reprocher cela, qui est aussi un crime contre l’humanité : faire des enfants, le seul crime contre l’humanité impuni. On enverra même de l’argent pour qu’ils puissent continuer à répandre, à semer la mort ». (Var matin, Europe 1)
Voilà, bon, comme beaucoup de nos confrères journalistes on aurait pu en rester là, mais non, car nous n’aurions dès lors fait que véhiculer le message et l’argumentaire sordide de l’ennemi. De surcroît, ce serait tomber dans le piège de la facilité, qui, rappelons-le, est fille de la bêtise et cousine de l’ignorance, toutes deux grandes-tantes du racisme, lui même étant neveu par alliance de l’épuration ethnique dont le nom marital est génocide.
Aussi, la rédaction de Bravepatrie.com publie une liste, sobre et non exhaustive, d’exemples de ce qui ne peut, en aucun cas, aider une population humaine, même du XVIe arrondissement de Paris, a remplir son frigidaire et à aller chez Ikéa pour s’offrir une table et des couverts pour 10 :
En bref, et pour faire très court, mettre en oeuvre tout moyen permettant de maintenir à sa place dans l’ordre naturel mondial un pays, voir un continent entier, l’Afrique par exemple, à la place si peu convoitée de
« sextoy du reste du monde ».
Une liste qui veut s’écarter totalement de « la thèse de la bite » de Pascal Sevran dont on ne peux que lui suggérer de se la coller dans un broyeur afin que celle ci ne soit pas responsable d’une famine intellectuelle en Europe.
Post-Scriptum : L’usage du broyeur ne semble pas être d’une utilité immense concernant Pascal Sevran, toutefois, à l’aune de ses propos, le principe de précaution semble de mise. Et puis en plus, ça ferait plaisir.
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13 janvier 2007 23:41, par Brave patriote
J’ai bien connu Mr Sevran alors qu’il effectuait son service militaire et que j’était son sergent (à l’époque, car je n’ai pas tardé à devenir sergent Chef). Ce monsieur n’était pas du tout raciste et s’était même pris d’amitié pour le caporal Mamadou N’Diaré. C’est bien simple ils ne se quittaient plus. Et si nous n’avions pas été dans l’atmosphère virile de la caserne, on aurait même pu penser... Mais, négatif, pas d’idées déplacées, il n’y avait pas de déviants chez nous... Au souvenir de cette profonde affection qui unissait ces frères d’armes, je ne peux comprendre ses propos. La malaria peut-être ?
12 décembre 2006 11:53, par Délateur anonyme et fier de l’être
Chuuuuuuuuuut pas si fort, les ennemis de la Brave Patrie risquent de vous entendre...
13 décembre 2006 10:40, par John Bigballs
Cher M. Lacombe,
C’est vrai. Les gens de couleurs sont des irresponsables. Quant on songe qu’avec leur revenu moyen (1$ au Niger) en se serrant un peu la ceinture plutot que de vivre grassement au crochet de l’aide internationnale, ils pourraient, s’offrir un mini portable avec wifi integré à 1 €/mois (en s’y mettant a 12), finir de le rembourser 120 ans plus tard, fonder dès l’année suivante une SARL ou EURL à capital fixe et à capital variable d’1 € (de surcroit déja délocalisée), pour se lancer dans la foulée à la conquette des marchés internationaux ("le marché n’est qu’une pute qui n’attent que ça" Jean Pierre Gaillard) et participer ainsi a l’etablissement d’une société de consommation digne de ce nom sur le continent Africain.
Quant on y songe, quant meme, ca file le vertige.
Au lieu de ca, ca baise comme des betes dans la brousse sans se poser de question sur le probleme des retraites et nous, comme des cons (Pardon de manquer de "tact", c’est le vertige), on cautionne ca en parachutant des sac de riz en lieu et place de broyeurs de bite.
Y’a comme un malaise, peut etre ?
JBB
1er février 2007 15:46, par John Bigballs
Parfois, j’ai l’etrange sensation de répondre à des robots générateur de cadavres exquis... et pas des plus fameux en plus.
JBB
12 décembre 2006 11:51, par Délateur anonyme et fier de l’être
Bah si on en a vraiment besoin, on n’a qu’à faire de l’élevage... c’est plus rentable en batterie que lorsque ça court dans la savane, non ?
11 décembre 2006 13:04, par Délateur anonyme et fier de l’être
Ou alors, appliquons à Pascal Sevran les principes qu’il énonce... ah, zut, on me dit à l’oreillette que ça ne servirait effectivement pas à grand chose, ce monsieur n’aidant pas notre Brave Patrie à exploser son taux de fécondité..
Reste donc plus que le broyeur.
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