La rédaction

Dédé Lajoie

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Dédé Lajoie est issu d’une famille d’entrepreneurs et de politiciens habiles qui eurent à gérer certains moments difficiles de transition historique (leur non préparation au débarquement de 1945, les accords déséquilibrés d’Evian alors que cette fois on allait gagner, la dernière trahison du petit général refusant d’ouvrir le feu sur les sauvageons de mai 1968, etc..).

Il déduit très tôt de l’enseignement de ses parents qui si "tout peut s’acheter" alors "tout ce qui peut s’acheter peut aussi se vendre". Principe qu’il met en œuvre en vendant sa petite cousine (laquelle deviendra célèbre entre les numéros 30 et 36 avenue Foch en semaine à partir de 21h) à deux amis précédemment rencontrés lors de la discussion animée avec son instituteur pour lui permettre d’être accepté au lycée.

Quelques années plus tard, son baccalauréat obtenu les doigts dans le nez et un Beretta en poche, il fonde le GUT GUT, une version épurée du GUD, trop laxiste à son goût.

Il puise son énergie créatrice à la confluence des œuvres de Messieurs Minc, Wolton, JP Meffret, Didier Super et du Général (Bigeard !). Lors de la mémorable soirée "Infirmières Big Boobs" du 21 juin 1993 (Bordeaux, en -2 avant Alain) il re-définit le GUT GUT comme un "mouvement prônant l’implémentation structurée de processus dans le cadre d’une démarche top-bottom favorisant les inputs non conventionnels".

La découverte d’une langue dans son oreille à son réveil lui apporte la révélation : les entreprises ont besoin qu’on les écoute mais aussi qu’on leur parle ! Sa décision est prise : il sera l’homme qui parle à l’oreille des entreprises, il fera du Conseil.
Internet n’existe pas encore vraiment mais Powerpoint et Excel oui !

Dès lors comme il aurait pu le dire aux salariés de Pechiney, Renault ou Goodyear s’il ne préférait pas la présence des machines aux ouvriers :
"tout est question d’adaptation mon pote".

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