Société

Bacs blancs : prise d’otages à risques

Didier Kala, jeudi 15 mars 2007 - 10:28 Partager sur Facebook Tweeter Enregistrer sur del.icio.us Enregistrer sur Google Bookmarks Enregistrer sur Yahoo! Envoyer par e-mail

Encore une fois, une catégorie privilégiée de fonctionnaires a choisi de prendre en otage une partie de la population française. En décidant de boycotter les bacs blancs, les enseignants s’exposent toutefois à une résistance imprévue : contrairement à leurs oisifs aînés, les jeunes d’aujourd’hui croient en la valeur travail et ne laisseront personne s’interposer entre eux et un labeur salvateur. Cette rébellion des otages pourrait fort bien sonner la fin du terrorisme syndical.

C’est sans doute dû au réchauffement climatique : les grèves et mouvements de contestation qui traditionnellement font flageoler l’Education Nationale au début du printemps sont cette année en avance de quelques semaines. Ce sont maintenant, selon les syndicats, entre 300 et 600 lycées qui sont menacés par l’opération de boycott des bacs blancs initiée par quelques professeurs aigris.
Les raisons de leur mécontentement, les Français les connaissent bien pour les vivre tous les jours : baisse du pouvoir d’achat et augmentation de la charge de travail. Mais si la France qui se lève a su s’en accommoder, grâce notamment à la multiplication des magasins de hard discount et des prescriptions de Guronsan, les enseignants s’accrochent encore à ce qu’ils pensent être des avantages acquis et font à nouveau planer une menace sur l’avenir de la France : la capacité de nos chères petites têtes blondes à rester le cul quatre heures sur une chaise inconfortable.

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Nos jeunes veulent une existence digne et à la hauteur de leurs ambitions : boire un pastis en écoutant les Grosses Têtes.

A un mois du premier tour de l’élection présidentielle, cette menace ignoble d’un corps de métier historiquement acquis au parti socialiste risque toutefois de faire long feu : les élèves de terminale de 2007 ont bien compris que sans diplôme ils ne seront rien, et que le bac blanc est le seul diplôme que beaucoup d’entre eux obtiendront. Ils veulent un emplacement stable dans l’existence, avec eau courante et raccordement électrique et de préférence à l’ombre et pas trop près de la nationale, et ils sont bien décidés à l’obtenir.
En effet, contrairement à leurs aînés de 1968 ou des années 1980, les jeunes d’aujourd’hui croient en la valeur travail et en son corollaire, le pognon. Ils savent qu’il leur faudra rester assis des heures de rang à un bureau sans attraper d’escarres s’ils veulent revendiquer la moindre réussite professionnelle et devenir des winners. Cela, seuls des examens bien organisés peuvent les y préparer, et ils ne veulent pas laisser passer cette chance.

Ce désir de s’intégrer participe d’une tendance de fond déjà révélée l’an dernier lors des manifestations anti-CPE. Manipulés par les trotskistes de la section PS du XVIIIème arrondissement de Paris, les lycéens et les étudiants qui défilaient dans toute la France n’en demandaient pas moins une seule chose, une petite chose si simple et pourtant nécessaire à l’accomplissement de l’esprit citoyen : un travail. Une malheureuse erreur d’interprétation les a fait se lever en masse contre un gouvernement qui leur en proposait justement, mais nul doute qu’un minimum de travail pédagogique devrait lisser les divergences de compréhension et rendre enfin applicable une loi qui a été votée et n’attend qu’un décret d’application pour relancer la croissance.
Sur les autres fronts aussi nos jeunes ont mûri. Un nombre croissant d’entre eux rêve de mariage et n’hésite pas à pratiquer la sodomie pour y arriver vierge ; le nombre de jeunes surendettés propriétaires explose ; ils savent qu’en gorgeant leur iPod vidéo d’épisodes de Prison Break ils affirmeront leur liberté de penser ; etc.
Alors que la vocation des jeunes d’antan était de fumer des pétards allongés sous un pommier prodigue avant de se baigner à poil dans une rivière poissonneuse, nos jeunes à nous désirent être productifs et s’intégrer immédiatement dans le seul modèle économique viable en dehors du pays des Bisounours : la société de consommation. Ils sont réalistes et ont compris qu’en devenant de vieux cons le plus tôt possible ils s’épargneront la douloureuse transition qui a envoyé tant de leurs prédécesseurs en dépression ou sur les chemins poussiéreux et insalubres du Tiers-Monde.

Ce changement de paradigme sociétal, les enseignants ne l’ont pas senti venir, occupés qu’ils étaient à contempler leur reflet dans le miroir déformant de privilèges d’un autre âge. Le bas calcul électoral de la cinquième colonne royaliste risque de se briser sur les belles et blanches falaises de la vie même, une vie que leurs œillères partisanes les ont empêché de voir jusqu’au dernier moment.
Le formidable métabolisme du mammouth lui avait permis de résister à l’âge de glace et à l’action courageuses de ministres de l’Education successifs. Il n’est pas dit qu’il survive aujourd’hui aux habitants de la fourmilière sur laquelle il tente de s’asseoir.

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Réactions à Bacs blancs : prise d’otages à risques

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Déjà 50 réactions.

  • 19 mars 2007 18:38, par La Motte Piquet

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    vas-y jé rien capté a ton spirit - hé cousin y’a des feumeu à bravepatrie ?

    Voir en ligne : http://www.adriencarpentier.com/blog

    Répondre

    • 19 mars 2007 19:01, par degadezo

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      Mon Cher Nelson,

      Châtiez un chouia votre langage, je vous prie. Ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas bien le message d’un nouveau venu qu’il faut être encore moins compréhensible.

      Merci.

      P.S. : si tu pécho d’la meuf à BP, chui grave preneur.

      Répondre

  • 18 mars 2007 09:01, par jeanpierre

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    Prise d’otage à risque ? Quel risque et pour qui ?
    Les enseignants continueront de toucher leur salaire, même s’il n’est pas mirobolant, ce gouvernement de toutes façon est en bout de course et après ?
    Soit c’est superman de l’immigration choisie qui gagne, et ils risquent fort d’être mis au pain sec.
    Soit c’est leur chochou (d’après les médias) qui gagne et on retournera dans un système feutré sans vague, mais de fait pour les jeunes un enterrement de tout risque de leur donner une ambition autre que celle de gagner beaucoup d’argent même si pour cela il doit écraser les autres.
    Soit c’est la mère de la Nation. Je n’ai pas trouvé grand chose sur l’éduction : elle veut réunir les enseignants pour discuter avec eux ?
    L’éducation n’est pas une lessive ou un produit de consommation !
    Ce n’est pas l’affaire d’une caste fut-elle nationale !
    L’éducation devrait être la priorité de tous les adultes.
    Permettre à l’enfant et à l’adolescent d’acquérir des connaissance de base suffisante pour arriver à un libre arbitre.
    Découvrir l’intérêt de la solidarité.
    Apprendre à avoir soif d’apprendre, rechercher l’information.
    Découvrir ses propres talents et repousser ses limites.
    Découvrir que le bonheur n’est pas dans la consommation et la possession, même si à l’opposé la misère elle s’oppose au bonheur.
    Il faut nous tourner résolument vers l’avenir, mais un avenir qui ne soit pas décidé d’avance, permettre aux jeunes qui deviendront adultes de décider de cet avenir.
    L’éducation est une priorité, encore faut-il que nous adultes ne donnions pas le mauvais exemple par nos comportements.
    Le bac blanc est un moyen d’évaluation pour les élèves (il ne devrait pas être un outil de jugement)
    Les parents d’élèves par le biais de la FCPE ont pris position et soutenu les enseignants lors de cette décision ministérielle sur la pluridisciplinarité et les emplois du temps.
    Un minimum de respect est du aux élèves et à leur parents.
    Enfin, à propos des services publics et du droit de grève, Oui le droit de grève est un droit "sacré", mais oui aussi la mission de service public est aussi un droit "sacré"
    Et les conflits dans les services publics devraient être résolus par un débat réunissant : les salariés, la direction mais aussi les représentants des usagers.
    Un service public n’est pas un produit marchand.
    Il est financé par les citoyens soit sous la forme d’impôts, soit en payant ce service.
    En aucun cas il doit être confisqué soit par des financiers soit par les salariés qui le font fonctionner. Cela signifie qu’un service public doit faire l’objet d’une mission contractuelle définissant les obligations des uns et des autres etce qu’ils peuvent en attendre en retour.
    Alors sortons de cette société de marché et de rapport de force construisons une société pour l’homme , tout l’homme (masculin féminin, corps et esprit), tous les hommes dans l’espace et dans le temps.

    Qu’en pensez-vous ?

    Répondre

    • 18 mars 2007 10:13, par degadezo

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      Je pense que vous devriez prendre un bon bol d’air, vous vider les baloches et l’esprit, et surtout, arrêter de réfléchir, exercice qui manifestement ne vous réussit pas des masses.

      Répondre

    • 18 mars 2007 15:23, par Cacquarante

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      Les enseignants continueront de toucher leur salaire, même s’il n’est pas mirobolant,

      C’est déjà de trop ! Que Saint Nicolas Nagy de Bocsa les mette au pain sec et à l’eau pour dresser ces dangereux marxistes qui pourrissent notre belle jeunesse bravepatriote ! (malheureusement il ne me semble pas avoir vu Monsieur Silvio Musso les nids dans les candidats retenus pour les présidentielles car son programe d’autoriser la chasse traditionnelle au mortier de douze contre les anarcho-bolcheviques me paraît tout à fait adéquat)

      L’éducation n’est pas une lessive ou un produit de consommation !

      Il faut que cela le devienne : Pourquoi ne pas proposer l’éducation au plus offrant en respectant la saine loi de la concurrence pour moderniser ce mamouth agonisant ? Les élèves achèteraient aux enchères les heures de cours aux professeurs les plus parformants. Nous aurions ainsi d’un côté une élite parfaitement formée et de l’autre une main d’oeuvre docile et bon marché pour concurrencer les niakouésChinois dans la production à faible coût. Nous réglerions ainsi le problème de l’éducation nationale, du déficit budgétaire, du chômage et de la contestation anarcho-bolchevico-humaniste.

      Répondre

      • 18 mars 2007 16:38, par Silvio Musso les Nids

        Bacs blancs : prise d’otages à risques

        Mon cher Cacquarante,

        Un inavouable complot trotskyste a jusqu’ici empêché les sages guidés par Debré de valider ma candidature, mais mon équipe de campagne a fourni les pièces justificatives pour que je puisse devenir le prochain président de notre brave république. D’ailleurs mon premier meeting devrait se dérouler très bientôt à Marseillan-Plage

        Répondre

    • 19 mars 2007 16:28, par Captain Couk

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      Qu’il vous faudrait, peu-être, lire un peu les Traités Européens ... notamment la partie 3 de la Constitution, reprise de Maastrich, puisque les autres en dépendaient.

      Rêveur, va.

      Répondre

  • 16 mars 2007 23:10, par Nicolas S. de N. B., athlète du 9-2

    Libérons les energies positives (attitudes) !

    Bonjour mes amis,

    Je comprends et je partage votre angoisse. Mais est ce qu’on a le droit de se laisser aller pour autant ? Non ! Vous voulez vraiment que je baisse les bras ? Que tout le gouvernement baisse les bras ? Mais on va aller ou comme ça, Mr Elkabbach, on va aller ou ?

    Je crois que les français sont des gens intelligents. Et les enseignants aussi sont des français. Et je crois que eux aussi veulent travailler plus pour travailler plus. Mais encore une fois, quelle possibilité laisse t’on aux vrais enseignants, je parle bien sur de cette majorité silencieuse oppressée par les syndicats retensifs de la gauche archaïque et plurielle, quelle possibilité laisse t’on à ces enseigants ?

    Doit on encore tolérer longtemps le laxisme scolaire proto-marxiste ? Doit on encore tolérer longtemps que des racailles de 11 ans redoublent le CE 2 ? Va t’on supporter longtemps que les fils de travailleurs, gagnant moins de 12 000 € par mois, se voient encore refuser l’accès des grandes écoles, parce que des maliens subis squattent à Cachan le gymnase de Normale Sup’ ?

    Je propose de liberer les energies, le dimanche y compris. Je propose de reveiller ce mammouth qui dort comme une belle endormie. Car l’école, de Charlemagne à Jule ferry, de Rosa Luxembourg à Nathalie Ménigon, de Jean Jaures à moi même, c’et la France, notre France, qu’elle a forgé. Et pour cela je veux rendre sa dignité, sa moralité, son efficacité à notre belle école de la république.

    Et c’est pour cela, oui, c’est pour cela que les Français font confiance àmon action, et j’ose dire, à mon ambition..

    Le prix de mon appartement était normal. (Applaudissements)

    Répondre

  • 16 mars 2007 07:58, par marie

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    les bacs blancs ne sont pas une obligation statutaire !!!!!
    on le fait pr preparer nos eleves à l’examen c tout
    on prend sur nous pr le faire
    evidemment le surcroit de travail n’est pas payé comme souvent ds l’education nationale !

    Répondre

  • 16 mars 2007 00:00, par Marcel Sijavet-Desailes

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    un prof marxiste connait je l’espère la valeur du travail. à moins qu’il ne soit pas allé au delà du premier chapitre du Capital (et même je crois que cette valeur est définie dans le premier des 815 épisodes du feuilleton). et dans ce cas là, dur dur d’être marxiste.

    Répondre

    • 30 mars 2007 09:36, par Gudule

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      Bravepatriotes, Bravepatriotes,

      On a tort de croire que le marxisme est mort définitivement.

      Leur devise n’est-elle pas : « Un Marx et ça repart » ?

      Au cachot !

      Répondre

  • 15 mars 2007 21:26, par Hervé Darce

    Bac blanc et prise d’otage

    Encore une fois, une catégorie privilégiée de fonctionnaires a choisi de prendre en otage une partie de la population française.

    Je ne doute pas que ces fonctionnaires aimeraient être aussi peu privilégiés que Bernard Charlès qui a perçu 21,3 millions euros/an en tant que pdg de Dassault Système (voir Que les gros salaires baissent la tête). Mais ce n’est pas permis à tout le monde d’être un opprimé du système.
    Je présume que “prise d’otage” est une métaphore pour exprimer la dureté d’une grève. Les enseignants seraient-ils des dangereux criminels menaçant dangereusement nos enfants ? Au secours ! Mon Dieu !

    Les enseignants s’accrochent encore à ce qu’ils pensent être des avantages acquis et font à nouveau planer une menace sur l’avenir de la France

    Je propose pour supprimer ces avantages acquis de privatiser le Mammouth et de précariser, à la mode UMP, les enseignants. Ainsi, les actionnaires percevront leur juste rétribution.
    L’Etat français paye actuellement pour chaque lycéen 10 000 euros (voir wikipedia). Les actionnaires ne peuvent accepter cet affligeant revenu. Comme ils prennent des risques considérables, il faudra que le peuple accepte la juste augmentation des frais de scolarité.
    Si vous ne pouvez pas payer la scolarité de vos enfants, Monsieur Didier Kala vous réconfortera en vous expliquant que les enseignants précarisés ne menaceront plus les enfants des actionnaires.

    Contrairement à leurs aînés de 1968 ou des années 1980, les jeunes d’aujourd’hui croient en la valeur travail et en son corollaire, le pognon. Ils savent qu’il leur faudra rester assis des heures de rang à un bureau sans attraper d’escarres s’ils veulent revendiquer la moindre réussite professionnelle et devenir des winners.

    Par “leurs ainés de 1968” désignes-tu Pierre Lellouche - avec lequel vous entretenez “d’excellentes relations” (voir biographie de Didier Kala) - agé de 17ans à l’époque ? Il faut remarquer que nos jeunes d’aujourd’hui se permettent une entorse au théorème Travail=>Pognon en acceptant de travailler gratuitement pour des stages. J’espère que vos “excellentes relations” remettront sur le droit chemin nos jeunes égarés.

    Alors que la vocation des jeunes d’antan était de fumer des pétards allongés sous un pommier prodigue avant de se baigner à poil dans une rivière poissonneuse, nos jeunes à nous désirent être productifs et s’intégrer immédiatement dans le seul modèle économique viable en dehors du pays des Bisounours : la société de consommation.

    Une société viable est une société dans laquelle la vie s’inscrit dans le triangle “Winners” : produire - consommer - dormir. Tout jeune s’écartant de ce triangle spirituel compromet fortement sa réussite personnelle.
    Ainsi, Monsieur Didier Kala priez avec moi pour que les âmes des jeunes “manipulés par les trotskistes de la section PS du XVIIIème arrondissement de Paris” reviennent dans le temple de la consommation.

    Je vous salue ...

    Source moncase.fr/blog

    Voir en ligne : http://www.moncase.fr/blog/article/...

    Répondre

    • 16 mars 2007 00:15, par Cacquarante

      Mounir, le retour

      Je ne doute pas que ces fonctionnaires aimeraient être aussi peu privilégiés que Bernard Charlès qui a perçu 21,3 millions euros/an en tant que pdg de Dassault Système

      Ces peigne-culs d’anarcho-trotskystes dégénérés devraient effectivement en prendre de la graine. C’est la preuve qu’avec un peu d’effort, nous pouvons réussir dans notre beau pays.

      Si vous ne pouvez pas payer la scolarité de vos enfants, Monsieur Didier Kala vous réconfortera en vous expliquant que les enseignants précarisés ne menaceront plus les enfants des actionnaires.

      Pas la peine que Sire Didier Kala prenne cette peine, je me consolerai en embauchant les enfants non scolarisés au meilleur prix. Pas de feignants en brave patrie ! Et pour les récalcitrants, je suggère des travaux pratiques tirés de l’excellent ouvrage de Monsieur Juan Marcos Von Braun "Essai sur la conductivité du corps humain face au courant triphasé".

      Il faut remarquer que nos jeunes d’aujourd’hui se permettent une entorse au théorème Travail=>Pognon en acceptant de travailler gratuitement pour des stages.

      Excellent tant que moi, je suis payé !

      Cacquarante

      P.S. : Pour compléter votre information sur le sujet, je vous invite à consulter le commentaire "Mounir 3, allez on lui dit"

      Répondre

      • 16 mars 2007 09:08, par Hervé Darce

        Merci de prévenir Mounir

        Je suis frappé par cet engouement constant et joyeux pour notre brave patrie.

        Dans notre brave patrie, le ridicule ne tue plus !

        Voir en ligne : moncase.fr/blog

        Répondre

      • 16 mars 2007 10:45, par Délateur anonyme et fier de l’être

        Mounir, le retour

        Rhoo c’est tellement plus amusant quand on les laisse mijoter un peu !

        Répondre

  • 15 mars 2007 20:21, par Romano

    sortez voir les jeunes monsieur

    Vous semblez si peut connaître les jeunes que c’en est à se demander quelle est la part de malhonnêteté intellectuelle de votre torchon, pardon, article.

    Croire que les jeunes veulent devenir des "vieux cons" rapidement pour embrasser cette société de consommation que vous portez aux nues c’est méconnaitre profondément toute un partie de la jeunesse qui en a marre d’être traitée comme un kleenex par le monde du travail (cf les combats contre le CPE qui furent portés principalement par eux, et contrairement à votre réthorique de droite que je vois arriver à grands pas, ils n’était instrumentalisés par pas grand monde.) et qui s’engage dans d’autres pistes de réflexions.

    Bien à vous monsieur, sortez, rencontrez les.

    R.

    Répondre

    • 15 mars 2007 20:56, par un patriote anonyme

      sortez voir les jeunes monsieur

      Enfin Monsieur !

      Vous savez bien que les jeunes Sont des Gros Cons.

      N’oubliez pas pour qui ils votent majoritairement !!!

      Répondre

      • 15 mars 2007 21:55, par Jackie doriot

        sortez voir les jeunes monsieur

        Oui, c’est vrai, les jeunes ne pensent qu’à ça ! La drogue, le stupre, la fornication ! De mon temps, les jeunes allaient se vivifier le corps et l’esprit en Allemagne pour soutenir l’effort de guerre contre les bolcheviks basanés. Et aujourd’hui, que voyons-nous, je vous le demande ? Une bordée d’insultes lorsqu’on parle d’immigration et d’identité nationale ! La sagesse populaire a mille fois raison : c’etait mieux (65 ans) avant.

        Répondre

        • 15 mars 2007 22:16, par Hervé Darce

          sortez voir les jeunes monsieur

          Etait-ce mieux il y a 65 ans, c’est à dire en 1942 ?!?

          A cette époque la valeur travail s’affichait à l’entrée de camps de concentration, notamment Auschwitz et Dachau (voir wikipedia) : "Le travail rend libre".

          Voulez-vous "rendre libre" par le travail les immigrés ?

          Voir en ligne : moncase.fr/blog

          Répondre

          • 16 mars 2007 04:06, par J.M. L.P.

            J’ai 500 signatures, et je vous emmerde.

            Comme si les melons allaient bosser !
            De mon temps ils savaient tenir une mitrailleuse. Aujourd’hui ils ne sont bons qu’à vampiriser les cotisations sociales !
            Tout ça c’est la faute de l’éducation nationale.

            Répondre

    • 16 mars 2007 07:12, par Silvio Musso les Nids

      sortez voir les jeunes monsieur

      Romano... en voilà un pseudo disgrâcieux !

      Sachez qu’ici, ce n’est pas le soviet de Petrograd, tout le monde n’a pas droit à la parole. Vous feriez mieux de vous taire avant que les autorités compétentes ne prennent contre vous les coercitives adéquates.

      Répondre

      • 16 mars 2007 12:59, par un patriote anonyme

        imper

        bonjour,

        je ne suis pas sûr que ce fil soit suffisamment impertinent pour avoir le moindre intérêt.

        Répondre

        • 16 mars 2007 13:35, par Silvio Musso les Nids

          Full aux as par les rois

          Bonjour à vous,

          Sachez que ce n’est pas le fait de rester anonyme qui va vous protéger. Nous savons d’ores et déjà tout de vous et, si vous regardez par la fenêtre, vous verrez le car de CRS envoyé spécialement, à ma demande, par le ministre de l’intérieur pour vous raccompagner à l’avion en direction de Tirana.

          Répondre

          • 16 mars 2007 15:51, par Délateur anonyme et fier de l’être

            Quinte flush ou quiche flute (je sors)

            J’ai pris sur moi le fait d’en envoyer trois (on ne sait jamais avec ces hurluberlus). Cela vous convient-il, mon cher Mr Les Nids ?

            Répondre

        • 17 mars 2007 11:08, par L’inconnu

          imper

          Seriez vous un des ses sous-citoyens, méritant un traitement psychiatrique chimique d’office, qui se dit de "Gauche".

          Quel idée d’ailleurs de prendre pour symbole la gauche, c’est à dire la partie de notre corps la plus méprisable, celle qui siegera pas à la Droite de Dieu...

          Répondre

  • 15 mars 2007 13:43, par Silvio Musso les Nids

    Bacs blancs : remanions les programmes scolaires !

    Si je suis président, je propose la création d’un ministère de l’immigration et del’éducation nationale pour lutter contre les perversions islamo-bolchévisantes induites par la résistance de la caste des soi-disant enseignants à l’évolution du monde moderne.

    Interdiction donc de faire lire aux élèves les ouvrages blasphématoires de Orhan Pamuk et Emile Zola (écrivain préféré de Staline, quand même !), et inscription dans les programmes de Houellebecq (dont le fameux "l’islamn est la religion la plus con" est le fleuron de sa pensée lumineuse) et des écrits de Benoît XVI.

    Répondre

    • 15 mars 2007 22:01, par Jackie doriot

      Bacs blancs : remanions les programmes scolaires !

      Oui, messieurs les hussards nègres de la republique : l’ecole aimez-la ou quittez-la !

      Répondre

      • 11 avril 2007 03:31, par Hussard

        Non !

        Je me déclare en opposition complète avec le message précédent. Il ne faut pas laisser le choix aux nègres. Qu’ils la quittent notre bravepatrie ! Et puisque ce sont des hussards, les former en bataillons pour notre futur contingent de Bagdad-ville est bien suffisant.
        Nous devons refuser l’organisation de bacs noirs !

        Répondre

  • 15 mars 2007 11:49, par Jacques-Hypolite du Fermoir de Monsac

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    La Valeur Travail ?!?! Parce que vous croyez encore à cette chimère ? Ce qui intéresse nos "chères têtes blondes", comme vous dites, (cliché d’un autre âge, allez donc voir s’il y a beaucoup de têtes blondes dans les collèges et lycées de Seine Saint Denis), c’est la "maille", comme ils disent, et si possible sans faire le moindre effort. Comme dirait mon voisin "les jeunes, tous des cons ! ils s’payent de motos neuves et z’ont rien à s’fout’ sul’cul !".

    Quant au bac blanc, ce n’est rien d’autre qu’une usine à gaz destinée à faire flipper les élèves en les saquant avant le passage du vrai bac. Car il ne faut pas se leurrer, chacun sait que grâce aux lobbies de parents d’élèves et autres associations d’étudiants Unefisées, le bac, nos chères "têtes de moins en moins blondes" l’auront de toutes façons. L’illétrisme et l’inculture ont contaminé notre société. L’image de la réussite, pour nos jeunes, c’est Diam’s et M’ Pokora. Merci à la gauche, et à ses propagandistes de la sous-culture.

    Répondre

    • 15 mars 2007 12:58, par Délateur anonyme et fier de l’être

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      J’hésitais à ajouter Doc Gynéco à votre liste d’idoles des jeunes, mais je préfère m’abstenir au final, le patron ne serait pas très content.

      Répondre

    • 15 mars 2007 14:02, par JFG

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      ça ne prend pas deux "t", "illettrisme" ?

      Répondre

      • 16 mars 2007 10:00, par Jacques-Hypolite du Fermoir de Monsac

        Bacs blancs : prise d’otages à risques

        Et ta soeur, qu’est-ce qu’elle prend ?

        Dis-donc, Dugenou, t’as rien de plus intéressant à faire que de relever les fautes de frappe ? vas-donc voir sur le site d’Indymedia si j’y suis (ou celui de JF Minaudant), ça nous fera des vacances.

        Répondre

    • 11 avril 2007 03:33, par Hussard

      Suspicion

      Qu’avez-vous contre les usines à gaz ? La chimiothérapie n’a-t-elle pas déjà fort bien réussi il y a quelques dizaines d’années déjà en cas de pronostic vital ?

      Répondre

  • 15 mars 2007 11:13, par Jan

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    ... ou un sacré ***** de ministre. Un vrai pas une tafiole qui baisse sa culotte au premier barissement !

    Répondre

  • 15 mars 2007 11:04, par Délateur anonyme et fier de l’être

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    Leurs parents n’ont qu’à les envoyer dans des écoles privées, où outre l’acquisition d’une morale ultracatholique, ils apprendront la discipline (sous la férule de Soeurs surentraînées) et les joies de la liberté par le travail (qui rend libre, comme chacun sait). Sans compter l’identité nationale, qui sera inscrite au programme scolaire dès l’an prochain, sous réserve que l’Elysée nous soit acquise (ce qui ne devrait être qu’une formalité à n’en point douter).

    Accessoirement, on pense sérieusement à écarir le Mammouth, qui forme majoritairement des délinquants au lieu d’en faire des consommateurs avides. Plus de profs marxistes, plus de feignants !

    Répondre

  • 15 mars 2007 11:03, par Jan

    Bacs blancs : prise d’otages à risques

    J’imagine un mamouth les fesses en l’air, avec un ministre monté sur un tabouret ;-)

    Répondre

    • 15 mars 2007 11:04, par Délateur anonyme et fier de l’être

      Bacs blancs : prise d’otages à risques

      Un sacré tabouret, alors...

      Répondre

      • 17 mars 2007 11:15, par L’inconnu

        Bacs blancs : prise d’otages à risques

        J’ai toujours pensé que le Trotskisme était une perversion de l’esprit : visiblement la zoophilie ne les dérange pas.

        Allez hop, cher animateur de ce site, relevez moi cette IP, et fournissez aux services policiers compétents les coordonnées de ce pervers.

        Il est hors de question, si nous avons affaire à un enseignant, de laisser un tel pervers au contact de nos cheres têtes blondes.

        Au pire, on peut peut être le faire muter dans un collège ambition-réussite, où il pourra exercé ses talents et ses goûts sur les jeunes membres tumultueux de l’immigration subis.

        Répondre

        • 23 mars 2007 10:45, par Délateur anonyme et fier de l’être

          Bacs blancs : prise d’otages à risques

          Pour votre information, je suis ne suis pas animateur de cet excellent site de vrai journalisme, mais plutôt du côté des policiers compétents (enfin, plutôt au-dessus hein, je suis pas gardien de la paix non plus !).

          Mais bon, si quelqu’un de la rédaction me le demande, aucun problème. Mais faites-vite, on déménage bientôt à l’Elysée... (parce que Barouin, merci bien, hein).

          Répondre

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