La valeur travail n’est pas perdue

La rédaction, lundi 6 décembre 2004 - 11:10

Là où 20 ans de gauche ont amolli les brave-patriotes au point qu’ils en oublient les mérites de la valeur travail, il reste quelques valeureux militaires pour lutter héroïquement lorsqu’on tente de les mettre prématurément à la retraite.

Tout est bien qui finit bien, puisqu’après une âpre négociation où s’est illustré Guillaume Sarkozy (le frère du Grand Guide pour Un Mouvement Populaire), notre héros s’est vu proposer une place au sein du service d’ordre du MEDEF.

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Déjà 4 réactions.

19 février 2005 03:08, par épi

> La valeur travail n’est pas perdue

Pour Un Mouvement Populaire ? Ou bien pour Un Militaire Pistonné, ou bien pour Un Maffieux de Plus ?

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10 décembre 2004 16:06, par rien a cirer

> La valeur travail n’est pas perdue

ne comprenais vous donc pas le désarroi , de nos militaires ,lorsque rentrant dans un bar ,une fois revenu a la vie civile, ceux-ci découvrent le vrai prix de la Kro , et portes closes au Mess,et le Ricard , vous savez combien il coute le Ricard dans un vrai bar ?
prendre une murge devient hors de prix , alors que dans nos casernes Braves Patriotes , c’est Open-Bar

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6 décembre 2004 18:02, par Gérard Zukri

> La valeur travail n’est pas perdue

Si le mollasson P.D.G. de l’entreprise France ne s’était pas dégonflé et avait suivi l’avis du visionnaire Madelin pour livrer des palettes de démocratie en Mésopotamie, nôtre soldatesque serait trop occupée pour développer des états d’âme à tendance névrotique.
Enfin moi c’que j’en dis...

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6 décembre 2004 16:32, par Andrite Macrophage

> La valeur travail n’est pas perdue

Oh oui, un héros le mot n’est pas trop fort ! La gabegie socialo-communarde n’aura cessé de mettre nos bataillons de braves soldats au piquet et de les priver de tour en avion !! Même le Concorde, si je vous disais tout ce que je savais sur ce sabotage intermittano-laicard, mais nous sommes surveillés par l’Oeil de Beigle et ma parole n’est pas libre !

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