Notre envoyé spécial dans les colonies rapporte le terrifiant massacre dont les blancs sont victimes quelque part dans la savane. Les morts se compteraient déjà par dizaines. Un réseau de sorciers islamistes, piloté depuis l’Europe, serait à l’origine de cette tragédie perpétrée dans le silence le plus total des Etats occidentaux et des associations prétendument anti-racistes.

Deux poids, deux mesures. Alors que la moindre petite entreprise de salut public et de sauvegarde de l’identité nationale, comme l’expulsion d’un profiteur, fait l’objet d’une large exposition médiatique avec un tas de philosophes gauchistes autour qui hurlent au racisme, l’exécution systématique de nos frères de couleur ne trouve pas le moindre écho dans la presse bien-pensante. Il fallait bien que Bravepatrie s’emploie à corriger ce tir.

L’ethno-différentialiste Philippe de Villiers, spécialiste reconnu des mouvements racistes et de l’islamisation de la France, n’a pas mâché ses mots pour orienter judicieusement les investigations : "Aucun doute, c’est un coup de cette salope de Kemi Seba". Il semble avoir été entendu par les enquêteurs qui, ni une ni deux, ont interpellé le chef raciste à son domicile parisien : la ligne B du RER. Selon une source proche du dossier, il aurait échoué à prouver qu’il ne s’est jamais trouvé à la frontière Tanzanienne avec une machette. Faute d’alibi, il devrait donc être renvoyé très prochainement devant le Tribunal Pénal International pour crimes contre l’humanité.

Toujours selon nos sources, Kemi Seba aurait bénéficié de l’appui moral d’un certain nombre de racistes notoires qui devraient être appréhendés pour interrogatoire dans les prochains jours. C’est le cas de Pape Diouf, toujours en fuite après son coming out au stade Vélodrome, mais dont le parquet semble avoir retrouvé la trace dans un bordel sénégalais des quartiers nord de Marseille. Brice Hortefeux, ministre des transports, s’insurge : "Sa présence est suspecte : c’est le seul noir à un poste de direction dans le foot français. Cet élément aurait du attirer l’attention des services de police plus tôt. C’est une grave négligence".

Les révélations sur ses déviances sexuelles permettraient, selon les enquêteurs, d’établir un rapport étroit entre le groupuscule néo-nazi de Kemi Seba et les milieux gay parisiens proches de l’ultra-gauchiste Bertrand Delanoë. Les policiers de la brigade des moeurs sont déjà sur cette piste, qui pourrait relier le racisme anti-blanc aux évènements du Printemps-Haussman, et faire la lumière sur l’implication certaine du parti socialiste.

Enfin, c’est le polémiste Dieudonné, antisémite activement recherché par le Mossad, qui ne cache pas ses accointances avec Kemi Seba. Le sinistre clown serait un des organisateurs de la conférence de Nanterre qui a scellé le destin des juifs d’Europe vers la fin 2005. Rien d’étonnant à ce que ses thèses révisionnistes rencontrent un succès certain chez les racistes de tous poils. Suspecté de complicité, c’est cependant avec difficulté que les enquêteurs parviennent à reconstituer son passé trouble : "EDVIGE a planté. On redemarre le serveur : ça peut prendre des jours".

Bénéficierait-il d’une protection au plus haut niveau de l’Etat ? Que faisait Rama Yade dans les 12 derniers mois ? Autant de questions, nous l’espérons, auxquelles la justice trouvera promptement des réponses pour éviter que ces atrocités ne se reproduisent.